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Élodie

Avril 2000 à avril 2001 : première année d'Élodie

Les premiers jours à la maternité, les 14, 15 et 16 avril 2000

Sur cette photo, Élodie n'a que quelques heures (moins d'un jour). N'est-ce pas qu'elle est déjà adorable ?
Marie-Christine est rayonnante devant notre petit bout d'chou d'à peine plus d'un jour. Remarquez le côté pratique des berceaux en plexiglas transparent !
Existe-t-il spectacle plus apaisant que le sommeil d'un bébé ?
Claude, le papa du papa, tient pour la première fois sa petite fille dans ses bras. Quel effet ça fait d'être grand-père ?
Françoise : Alors, elle est pas mignonne ?
Claude : Elle est pas mignonne, elle est a-do-rable !
Christelle cache difficilement sa joie de pouponner.

Autres photos avant 4 mois

Élodie n'a que deux semaines, et pourtant elle scrute déjà le monde avec avidité.
Départ pour une balade avec la petite Élodie dans la poussette. La photo est prise dans notre ancienne copropriété de Vitry.
Est-ce une nouvelle danse, ou bien un appel du pied pour le 18 juin ?
À 3 mois comme à 2 semaines, Élodie est curieuse de tout ce qui l'entoure.
« Je vous ai mitonné une de ces recettes... »
Le bonheur, c'est simple comme un brin de fille.
Qui est de corvée de vaisselle aujourd'hui ?
Premiers éclats de rire.
« Aïe aïe aïe ! J'ai dit une bêtise ! »

Quelques découvertes entre 5 et 6 mois, octobre 2000

Au lieu de s'endormir tranquillement, Élodie a décidé de s'asseoir, toute seule, et de jouer avec le mobile qui est au-dessus de son lit.
« Ben quoi ? J'ai presque six mois, ça vous étonne tant que ça que je me tienne assise ? »
« Celui-là ! C'est celui-là que je veux ! »
Toujours dans la même situation, un gros plan pour le plaisir.
Découverte du bébé du miroir.
La réaction ne se fait pas attendre (pareil pour la maman).
Un petit bisou (on ne sait jamais : des fois que le bébé du miroir serait comestible !)
« Regarde, papa, je renverse mon panier de jouets toute seule ! »
« Eh ! Je fais comment, maintenant ? »
« Ouin ! Je me suis fait avoir ! »
« Ouais ! Tu pourrais m'aider, au lieu de filmer en rigolant ! »

Autres photos avant 8 mois

À Lanvénégen, dans les bras d'Heïdi, Élodie est perplexe.
La voici dans notre jardin de Vitry en compagnie de Timothée.
Auriez-vous deviné à quel point j'adore cette photo ?
L'heure du bain.
Au fait, pas de doute : c'est bien une fille.
Zyeutez cette tête hébétée post-têtée !
Oh la belle grimace !
« Qui va à la chasse perd sa place, papa ! »

Apprentissage de la marche à quatre pattes

Confrontation entre Élodie-la-petite-fille et Léopold-le-canard.
« Blvrlvrlvrlvrlvr... »
Le jour des 30 ans d'Anne-Séverine, Élodie joue sur le sol...
... elle en profite pour apprendre à ramper...
... pas facile !
Cette fois c'est bon : Élodie sait avancer à quatre pattes. Venue toute seule depuis le séjour, elle arrive dans la cuisine.
Pour la première fois elle découvre un jeu qui l'amusera pendant de longs mois : ouvrir ce placard et en sortir tous les récipients en plastique.
Deux mois et demi plus tôt Élodie se trouvait déjà face à Léopold. Mais à cette époque elle ne savait que reculer.

Séance de bébés nageurs

Les bébés nageurs se retrouvent deux fois par semaine dans un bassin scolaire dont l'eau est particulièrement chaude, et dont la profondeur ne dépasse pas 1m50.
Grâce aux flotteurs, les bébés peuvent évoluer tout seuls dans l'eau.
Élodie est tellement à l'aise que cela ne l'inquiète pas de quitter sa maman ou son papa et de partir à l'aventure.
Virginie est l'une des animatrices. La première fois qu'un bébé vient, son rôle est le plus souvent de rassurer les parents.
Des paniers à linge astucieusement disposés dans des blocs de mousse permettent de jouer en toute sécurité, comme dans le bain.
Élodie a toujours adoré l'eau. Elle le manifeste en battant vigoureusement des pieds et des mains.
Sans les flotteurs, ce n'est pas mal non plus. Cela permet de se faire dorloter par sa maman.
Les bébés qui ont commencé tôt conservent le réflexe de l'apnée, et ils n'ont pas peur de plonger dans l'eau : avant...
... pendant...
... et après. Non seulement cela ne l'inquiète pas, mais en plus cela a l'air de lui plaire si l'on en juge par la mine réjouie et les moulinets des bras.
Sans les flotteurs, et sans les bras de maman : comme un poisson dans l'eau !
À la sortie de l'eau, l'exubérance n'est plus là. C'est un signe qu'elle a assez plongé pour aujourd'hui. On va finir la séance de façon plus cool.
Après le bain, il y a la douche...
... puis l'habillage, autour du bassin pour ne pas prendre froid en allant au vestiaire.
Pendant ce temps, la séance continue avec les plus grands.
Une autre animatrice, Julie, qui pour une fois est venue prendre des photos au lieu d'être dans le bassin.

Autres photos avant 12 mois

Quand l'écran du caméscope remplace le miroir, le bébé qu'y voit Élodie l'intrigue tout autant.
Élodie ne pleure pas souvent, mais ça lui arrive parfois : pour ceux qui en doutaient, c'est un vrai bébé !
Ces pleurs permettent de montrer les deux premières dents.
Mais heureusement, c'est aussi quand elle rit qu'on voit les deux dents dehors !
Élodie n'a jamais voulu accepter le biberon mais elle aime beaucoup boire à la tasse comme les grands.
« Hum... »
Papa regarde la photographe mais Élodie ne détournera pas les yeux de son bol.
Élodie au piano : « Bon, alors qu'est-ce que je vous joue ? »
« J'ai un morceau très sympa. Écoutez ça. »
« Ça vous a plu ? »
Ce qui me plaît beaucoup chez Élodie, c'est son humour. Elle est toujours la première à s'amuser des farces qu'on lui fait.
La voilà toute fière avec son chapeau improvisé.
Là ce n'est pas de l'étonnement, mais plutôt un petit coup de fatigue.

À partir d'un an, avril 2001

Apprentissage de la station debout

À une semaine de son premier anniversaire, Élodie commence à se tenir debout toute seule.
Elle peut même lever une jambe : ça tient toujours.
Une fois debout, elle découvre des objets jusqu'alors inaccessibles. Ici, c'est le mécanisme d'ouverture de la barrière en haut de l'escalier. Heureusement il ne s'ouvre pas si facilement.
Élodie prend vite de l'assurance...
... au point de pouvoir choisir ses petits pots toute seule. Il va falloir les changer de place !
Un mois plus tard, Élodie ne sait bien sûr pas marcher sans se tenir, mais elle tente déjà des acrobaties. Ici, elle grimpe sur son « chien à roulettes » après l'avoir renversé.
La position ne semble pas inconfortable ni même précaire...
... et elle essaye même de grimper encore plus haut !
Même exercice sur son jouet en forme de siège bébé. Il y a plus de place pour poser les pieds, mais le siège bascule d'avant en arrière...
... pourtant notre petite cascadeuse n'a pas l'air d'être incommodée le moins du monde.

Les premiers pas

Élodie a déjà fait quelques pas, en particulier chez la nourrice. Thérèse tente de la voir à l'oeuvre, en l'attirant avec ce qu'elle adore : des fleurs...
... demi-succès (ou demi-échec) : pour les fleurs Élodie lâche la table mais elle ne fait pas encore un pas en avant.
Nouvelle tentative. D'abord Élodie se tient au doigt de sa maman...
... puis elle lâche le doigt. Va-t-elle avancer ?
Oui ! Elle fait un pas toute seule !
Encouragée par ce succès, elle fait un deuxième pas ! Va-t-elle continuer ?
Mais oui !!! Encore un ?
Oups ! Non, ça fait beaucoup à la fois. Trois pas d'affilée, quand même !
On va continuer à quatre pattes, c'est quand même plus sûr.

Autres photos entre avril et juin

J'aime beaucoup cette image du clown-culbuto qui veille sur le sommeil d'Élodie.
Il faut dire que l'apprentissage de la marche, cela fatigue.
La même, vue de dessus.
Cette photo a été prise pour inviter nos voisins à un apéritif, histoire de faire connaissance.
D'un mois sur l'autre, Élodie a souvent changé de forme de visage - ici, celui-ci est un peu plus triangulaire - mais elle a toujours eu ses grands yeux tout ronds.
Mamie Françoise et Papy Claude tentent de faire rire Élodie en se lançant un petit poisson en plastique rouge d'un bout à l'autre de la table...
... et ça marche !
L'un des cadeaux offerts à Élodie pour son premier anniversaire est cette superbe balançoire. Quand elle y est, il est très difficile de l'en sortir.
L'heure du bain est toujours un moment privilégié...
... surtout quand on le prend avec maman !
Parfois on en profite pour essayer de manger le bec du mélangeur.
Ça n'a pas l'air mauvais.
Chez papy Michel aussi, il y a une balançoire. Il y en a même plusieurs pour se balancer ensemble.
Quel bonheur !

Nouvelle séance de bébés nageurs

Pour la deuxième fois je prends le caméscope pour filmer la séance de bébés nageurs. Arrivée d'Élodie avec sa maman.
La baignade est toujours aussi appréciée.
Prié de faire un bisou à Élodie, Victor tente de la manger...
... cela fait bien rire les deux mamans ainsi que Virginie.
Un autre copain de baignade : Louis, avec ses parents.
Claire et son papa.
Parée à plonger ?
C'est parti !
Oups...
Un gros bisou pour se faire pardonner.
Un peu toute seule, avec les bouées.
Hors de l'eau, avec la maman de Mathilde.

Élodie marche vraiment toute seule

À la sortie des bébés nageurs, le trottoir est vraiment large. Pourquoi n'en profiterions-nous pas pour faire quelques pas ?
Marie-Christine lâche la main d'Élodie : il s'agit de se lancer maintenant.
Ça marche ! Toute fière, elle avance vers les mains de maman.
Le trottoir a beau être en pente, cela ne gêne pas notre marcheuse.
Après avoir marché sans aucune aide pendant plus de vingt secondes, Élodie a bien mérité de reprendre la main de maman pour finir le trajet de façon plus cool.

Vacances de juillet au Mazel des Laubies

En route pour la Lozère, sur une aire d'autoroute.
« Toutes les deux heures, une pause s'impose »... surtout quand il y a une balançoire et un toboggan !
Devant la maison du Mazel des Laubies. Il fait plutôt froid pour un 17 juillet, mais en se couvrant bien on peut quand même jouer dehors.
On a au moins une chance : il ne pleut pas.
Derrière l'église de Javols, on joue à « attrape-doudou ».
Maman a réussi à attraper l'un des coins du doudou...
Et hop !
Élodie a récupéré son doudou. « Viens le chercher ! » dit-elle avec les yeux.
Après s'être beaucoup dépensée, un câlin cela repose.
Voyez ce petit air coquin !
Laquelle est la plus heureuse des deux ?
Le plus heureux, c'est peut-être le papa quand il voit ce joli tableau !
Encore un petit air coquin... pas de doute, c'est bien la même.
« Mâmon ! »
Mmmh... un petit brin de fille comme ça, on en mangerait !
Prés de la réserve de bisons d'Europe (Sainte-Eulalie), il y a quelques jeux dont une balançoire pour Olivier et sa fille.
« Olivier, on te verrait mieux sans ta casquette », dit Marie-Christine.
Pas de problème !
Est-il nécessaire de rajouter un commentaire sur cette photo ?

De retour au Mazel fin août

De retour au Mazel à la fin du mois d'août, le soleil permet de jouer au bac à sable.
Pas encore habituée à marcher dans le sable, Élodie préfère rester à l'extérieur, sur la terre ferme.
D'ailleurs, d'où elle est, elle peut jouer avec le sable tout autant que la cousine Camille et les petits voisins.
Benjamin, qui habite la première des sept maisons.
Deux spectatrices : Thérèse et Marie-Christine.
Élodie vient d'apercevoir le ballon.
« J'ai ! »
Se voyant sur l'écran du caméscope, elle pousse des cris de joie.
« Hum... la casquette est un peu de travers. »
« A'vwa' Papa ! »
Papy Michel montre à Élodie le klaxon du tracteur.
Pour le moment, elle sait surtout faire de la marche arrière.
Aussi, elle commence à savoir monter et descendre toute seule.
On ne se lasse jamais de lire un livre.
C'est papa qui a plus de mal à lire quand il y a Élodie.

Autres photos en Lozère et en Aveyron

Depuis le Mazel des Laubies, nous rayonnons un peu. Nous voici à Camprieu, chez Vévé.
Pendant que les plus grands se préparent à partir en balade, Élodie essaye l'une après l'autre toutes les chaises de la maison.
Là, c'est une « ferme pédagogique » à quelques kilomètres à peine du Mazel.
Les cerfs ne sont pas le moins du monde effrayés par Élodie. Le guide nous a expliqué que s'ils avaient eu peur, leur derrière serait devenu tout blanc.
Élodie ne semble pas plus effrayée par les cerfs, mais je n'ai pas examiné son derrière pour le vérifier.
Un peu plus tard, au Truc de Fortunio. Les trucs en Lozère sont des sommets élevés. Élodie, ne se trouvant pas assez haut, grimpe encore sur la voiture.
De retour au Mazel, la star Élodie pose pour la photo.
Élodie et Marie-Christine au Pont des Estrets.
Chez Paul et Françoise à Chabanes, Élodie entre et sort en escaladant la porte-fenêtre, sous le regard un peu inquiet de sa maman.
Balade près du lac de Charpal. On commence par faire une pause.
C'est la première fois que nous essayons le porte-bébé. Très utile pour les longues marches.
Durant toute la balade, Élodie n'a pas cessé de pousser des petits cris joyeux.
Au retour, Élodie me tirant les cheveux, c'est moi qui pousse des petits cris...
On a toujours prétendu qu'elle n'avait pas beaucoup de cheveux... cela ne les empêche pourtant pas de voler au vent !

Un numéro de cirque à Marvejols

À Marvejols, une place est entourée de bornes reliées par des chaînes. Élodie a décidé de passer.
Aidée par sa maman, et sans lâcher le doudou, elle trouve toute seule comment enjamber la chaîne.
À mi-chemin, Élodie pousse son cri de guerre qui l'aidera à finir la traversée en passant la jambe gauche.
À peine est-elle de l'autre côté qu'Élodie se précipite pour ramasser un mégot par terre.
Je ne vous l'ai peut-être pas encore dit, mais elle est en pleine phase de nettoyage des espaces publics des centaines de mégots qui s'y trouvent.
Ce travail achevé, il est temps de repartir de l'autre côté. Admirez la grâce de la gymnaste.
C'était une autre méthode, inspirée de la roulade avant.
Retour avec une autre tentative : pieds joints.
Je vous ai épargné la chute qui a suivi. L'essentiel est d'y être arrivée.
On recommence, avec une combinaison des deux premières techniques (ciseaux + roulade avant).
Notez que l'assistante de l'athlète a du mal à garder son sérieux. On se demande bien pourquoi.
Bon c'est pas tout ça mais il s'agirait de repasser de l'autre côté.
Après un certain nombre de traversées dans les deux sens, on sent quand même une certaine lassitude chez Marie-Christine qui se demande quand tout cela va finir.

Au restaurant

Le soir de la visite de Marvejols, nous dînons au restaurant « les Portes d'Apcher ». Admirez la petite fille modèle.
Bien sûr au début on ne peut pas lui refuser quelques biscuits d'apéritif qu'elle avale goulûment.
Avant de nous installer, nous avions vérifié que l'on pourrait donner à Élodie quelque chose à son goût, en l'occurence un potage de légumes. Cette photo montre la seule cuillerée que mademoiselle a bien voulu accepter.
En effet, le ris de veau de maman semble bien plus appétissant...
Après le ris de veau, c'est de l'aligot que mange Élodie.
Rien à voir avec le potage de légumes ! En plus c'est bien meilleur quand on tient la cuiller toute seule.
Mmmmh ! Quel délice !

Au parc Floral, puis à Champigny

Avant d'aller à Champigny voir les grands-parents et super-papy, nous visitons une exposition d'animaux domestiques au parc floral de Vincennes.
Élodie a la possibilité d'y caresser un chat (celui-ci ne se sauve pas contrairement à Kiwi).
Elle caresse aussi des chiens...
... et même des extincteurs !
Toutes ces péripéties l'ont exténuée, et elle dort dans la poussette au retour.
Arrivée à Champigny, Élodie joue les clowns derrière une vitre. Elle aurait quand même pu mieux choisir la couleur de son faux nez !
Complètement réveillée à présent, Élodie conduit sa petite voiture.
Devant l'oeil interrogateur de Kiwi, elle arrive même à faire de la marche avant pour la première fois.
Dans l'après-midi, nous rendons visite à super-papy. Élodie découvre qu'il a un nez.
Une fois encore, elle n'est pas avare de caresses : sur le front...
... et sur la joue.
Que de tendresse dans leurs deux regards... et par suite dans le mien.
Dans la famille « câlins » je voudrais le papa et le super-papy !

La chatte et la balle de ping-pong

Autour de la table basse, au moyen d'une balle de ping-pong, Élodie fait jouer la jeune chatte Kiwi (à peine trois mois).
Décomposons le mouvement. D'abord, Élodie ramasse la balle par terre.
Elle la lance sur la table, de sorte que cela fasse le plus de bruit possible.
Ensuite elle se retourne pour voir s'élancer Kiwi.
Au passage de la chatte, Élodie éclate de rire.
Tiens ? Kiwi n'est pas sortie de dessous la table. Voyons voir où elle peut être...
Oh ! La voilà !
Vite, courons-lui après !
Pas folle, Kiwi ne demande pas son reste. Elle fuit en abandonnant la balle par terre.
Élodie n'a plus qu'à se baisser pour la ramasser...
... et c'est reparti !

Revue de détail

Même si elle ne parle pas encore, Élodie connaît de plus en plus de mots. Je viens de lui demander si elle sait où est son oreille.
Et le nez ? Où est le nez ?
Pour la langue, inutile de la montrer du doigt : il suffit de la sortir.
Enfin, quand Élodie montre à la fois le nez et la langue, cela donne une superbe grimace improvisée !

Élodie téléspectatrice

Pour le moment, Élodie n'a qu'une seule cassette vidéo. Ce sont quatre épisodes de Pingu d'une dizaine de minutes chacun.
Élodie est très concentrée sur l'histoire du petit pingouin qui joue avec son cerf-volant sur la banquise.
Bien que connaissant l'histoire par coeur, elle réagit très fort à chaque fois. Ici, le cerf-volant vient de tomber sur le toit de l'igloo familial.
Pingu va-t-il réussir à rattraper son cerf-volant ?
Oh ! Il est en train de tomber...
Oh non !... Le cerf-volant est tout cassé !
Élodie est triste pour Pingu qui a perdu son cerf-volant.
Heureusement, avec l'aide du grand-père, Pingu et sa soeur Pinga construisent un autre cerf-volant, encore plus beau que le premier.
Ouf ! L'histoire se termine bien en fin de compte, mais que d'émotions !

Portraits

Quand Élodie est chez ses grands-parents paternels, elle se fait photographier dans toutes les situations...
... par exemple lorsqu'elle est absorbée dans une conversation au téléphone.
On peut la voir aussi en Gavroche.
Ici, Élodie essaye une paire de lunettes.
« Reprenons, voulez-vous ? Où en étions-nous ? »

Contes pour enfants

Tous les quinze jours, à la bibliothèque des jeunes de Choisy, a lieu « Imagimots », une séance de contes pour les 0-3 ans.
Le jeune public se compose en grande partie des enfants du centre aéré.
D'autres viennent accompagnés de leurs parents, du moins pour ceux qui ne travaillent pas le mercredi.
Élodie n'arrive pas à se décider entre rester assise à côté de sa maman et rejoindre les autres enfants sur le tapis.
Finalement elle choisit d'aller sur le tapis, mais avec papa.
Après les contes, la promenade dans le parc de la mairie s'impose, avec visite aux canards et cygnes du bassin.
C'est encore l'hiver, et les canards passent autant de temps sur la glace que dans l'eau.
Heureusement le petit chaperon rouge est bien protégé du froid.

Entre deux et trois ans (2002-2003)

Le Stérou, ou parc Aquanature, prés du Faouët

Le parc du Stérou, aussi nommé parc Aquanature, nous accueille avec un très bel arbre.
Sur le chemin d'accès, c'est Élodie qui se charge de la poussette : « tout-seule ! »
Dans le parc, de grands aquariums abritent des poissons de toutes sortes.
On peut aussi se promener le long de jolis ruisseaux.
Jouer avec l'eau est toujours aussi amusant.
Je vous laisse deviner ce que font exactement Marie-Christine et Élodie.
On ne peut pas repartir avant d'avoir fait un peu de toboggan.
Arrivée en haut, Élodie est toute fière.
Un petit coup d'oeil en arrière qui semble dire : « Regarde, maman, sans les mains ! »
Et hop !

La ferme de Dame Nature, près de Meslan

Dans la « Ferme de Dame Nature » Élodie observe avec intérêt des béliers à barbiche.
Lesdits béliers ne mourront pas de faim. En même temps que nos billets d'entrée, nous avons acheté un grand sac de pain pour nourrir les animaux.
Finalement, qu'ils mangent ou non, Élodie s'en lave les mains.
Sur la droite, malgré leur cou allongé, ce sont bien des canards. En revanche je n'ai pas su identifier ce curieux animal qui se tient sur deux pattes et qui, contrairement au kangourou, porte sa poche dans le dos.
Élodie entraîne son père dans une course (presque) effrénée avant de continuer la visite.
Ici, c'est Élodie qui nourrit les animaux. D'abord une petite chèvre...
... puis une plus grande. Pour ne pas se faire mordre les doigts, Élodie ouvre au maximum sa main droite... et la gauche aussi d'ailleurs.
De temps en temps, quand elle trouve un pissenlit, Élodie s'amuse à souffler dessus comme elle fait avec toutes les bougies.
Vers la fin de la visite, nous entrons carrément dans l'enclos des petites chèvres, pour lesquelles il nous était conseillé de garder du pain.
En effet elles sont sacrément gourmandes, les coquines. Il faut les voir se précipiter vers quiconque porte un sac de nourriture.
Certaines n'hésitent pas à nous bousculer un peu si cela ne va pas assez vite.
Pendant ce temps, Daphné s'est fait un peu lécher les pieds mais elle reste stoïque.
Juste avant la sortie, Élodie a le plaisir de s'asseoir dans un tracteur. Ayant l'habitude de jouer à conduire la voiture, elle demande que l'on « fe'me la po'te »...
N'empêche qu'elle prend son rôle très au sérieux. Elle tourne le volant...
... et elle passe même les vitesses.

Daphné

Premier jour, à la maternité

Ce matin à 2 heures moins 20 est née la petite Daphné. Après les têtées son visage est presque aussi rouge que son pyjama, mais le reste du temps elle va très bien, merci.
Élodie est venue voir sa maman et sa soeur. Avant de monter sur le lit, elle retire ses bottes.
« Je peux toucher le bébé ? »
Depuis longtemps nous avions préparé Élodie à la venue de sa petite soeur.
Pour tenter de limiter les risques de jalousie, Élodie a même reçu un cadeau « de la part de Daphné ».
En fait de jalousie, la grande soeur a tout de suite manifesté beaucoup de tendresse envers sa cadette.
Dès le début, elle lui a fait de très douces caresses sur la tête...
... ainsi que de très douces caresses sur le ventre...
... et surtout de tendres bisous !
Françoise, la maman du papa, fait partie des premières personnes à tenir Daphné dans ses bras.
Le teint rouge dû à la chaleur de la têtée n'a pas complètement quitté ses joues.
Claude, le papa du papa.
C'est beau, un bébé qui dort...
... n'est-ce pas ?

Diverses photos à 5 et 6 mois

Daphné a juste 5 mois aujourd'hui. Pendant que papa et la grande soeur font du bricolage, elle joue tranquillement dans son parc.
Un mois plus tard, en Bretagne. Daphné a une grande variété de sourires, celui-ci exprimant le simple bonheur de vivre.
Ses sourires les plus fréquents ont un éclat malicieux dans le coin des yeux. Quand en plus la langue est de sortie, elle semble vraiment se moquer de nos regards émus.
Un gros plan pour le plaisir.
Encore un autre pour voir le petit menton. Même quand la bouche ne sourit pas franchement, on retrouve l'éclat malicieux dans les yeux de Daphné.
« Regardez, j'ai attrapé mes pieds ! »
« Hé ! »

La famille : parents, frères et belles-soeurs, cousins et cousines, etc.

Année 2000

Xavier et Marion viennent voir Élodie

Xavier and Co. nous rendent leur première visite depuis la naissance d'Élodie. Le sac poubelle derrière Marion contient une partie des innombrables vêtements qu'elle a eu la gentillesse de nous prêter.
Xavier, Romane et Camille se découvrent sur l'écran du caméscope.
Du coup, Camille peut se regarder faire un gros calin à sa soeur.
Commentaire de Xavier : « sandwich de Romane... ».
Sandwich ? En effet...
Quelques semaines plus tard, venus fêter les 4 ans de Camille, nous assistons au repas de la princesse entourée de ses sujets les « mémés » (peluches).

Louis alias super papy

Le choc des générations : super papy découvre son arrière-petite-fille, née plus de 100 ans après lui.
« C'est grâce au lait maternel qu'elle est si belle, » dit-il.
Quatre mois après cette première rencontre, toute la famille se retrouve pour fêter les 101 ans de super papy.
Arrivée devant le portail, chez Françoise et Claude.
Françoise accueille son papa, qui n'a pas besoin de fauteuil roulant pour les derniers mètres.
1 siècle 1 an et 1 jour, et toujours en pleine forme !

Cousins et cousines à Saint-Chély et Millau

Élodie est tellement mignonne que toutes les cousines se l'arrachent : ici dans les bras d'Anne-Sophie à Chabanes-Planes...
... là dans les bras de Violaine à Saint-Chély d'Apcher...
... toujours dans les bras de Violaine, Élodie se laisse faire d'un air blasé tandis que Sixtine la regarde avec le plus grand intérêt.
Chez Vévé à Millau, Maël et Hugo : anges ?...
... ou démons ? (voir aussi le jeu des cascous)
Vévé dans sa cuisine à Millau. Pour info, c'est dans cette cuisine qu'Élodie a pris pour la première fois son bain dans un évier.
Toujours chez Vévé, Élodie est très entourée. D'un côté, son père Olivier surpris en train de lire des histoires qui ne sont plus de son âge (les contes de la rue Broca). De l'autre, Hugo et sa petite soeur Isaline.

Hugo et Maël jouent au jeu des « cascous » dans lequel il faut viser une CASquette avec un COUSsin

t - 10 secondes
Hugo installe sportivement la casquette sur la tête de son adversaire Maël.
t - 1 seconde
Préparation du lancer.
t - 160 millisecondes
C'est parti !
t - 80 millisecondes
Le coussin semble dans la bonne direction. Va-t-il toucher ?
t = 0
Touché !
t + 40 millisecondes
La casquette décolle, c'est gagné.
t + 120 millisecondes
Observez le geste souple du joueur qui a accompagné son mouvement.
t + 160 millisecondes
Vous pouvez noter que le joueur s'est levé de l'escalier qui lui servait de chaise. Les arbitres décideront, au vu du ralenti, s'il l'a fait avant d'avoir lâché le coussin, ou bien après.
t + 1 seconde
Maël vient de réaliser que son adversaire a marqué un point. C'est maintenant à son tour de jouer, pour tenter d'égaliser.

Chez Michel et Thérèse à Palaiseau

Cours de danse : papy Michel montre à Camille que lui aussi sait danser. Pourquoi donc repart-elle en riant ?
Commentaire de Camille : « Yean-Y ! Coquin !... Coquin Yean-Y ! »
Le joli sourire de Simone.
Où l'on a la preuve qu'Élodie est martyrisée par sa mamie Thérèse.
La voici tout aussi malheureuse avec papy Michel.
Marie-Christine et Thérèse.

Érik et Dominique nous rendent visite

Ce qu'on est bien dans les bras de tata Dominique...
Quel est donc celui qui rend Élodie aussi heureuse, en lui permettant de marcher dans l'allée ?
... C'est tonton Érik, bien sûr ! Au passage, ne vous fiez pas aux apparences : malgré son sourire prétendument crispé, le tonton est on ne peut plus heureux de nous kidnapper notre fille.
Les mêmes avec Clément, le baby-sitter du mardi soir.

Noël 2000 à Palaiseau avec les deux familles réunies

« À la tienne, frérot ! »
Papy Claude nourrit sa petite fille selon la technique de « l'attaque en piqué » sous le regard anxieux de tante Simone (en réalité, elle ne se ronge pas les ongles d'inquiétude, mais grignote un gâteau d'apéritif).
Elle est pas mignonne aussi, la cousine Romane ?
Avec mamie Françoise.
Papy Michel avec Élodie qui, une fois n'est pas coutume, suce son pouce plutôt que l'index et le majeur.
Élodie ayant constaté que l'on s'amusait beaucoup au jeu de « caché-coucou », elle s'est mise à y jouer toute seule, pour notre plus grand plaisir.
Tante Germaine avec Élodie et le canard Léopold.

Année 2001

Les 60 ans de Tristan

Pour son anniversaire, Tristan a joué avec brio le « Christ en bois » de Gaston Couté.
Lucile, fille de Véronique et de Laurent, est la première petite fille de Tristan et Marie-Claude.
Lucile dans les bras de Véronique.
Véronique et Laurent.
Bien entendu Élodie était de la fête, et ses grands-parents aussi.
Élodie, un petit sourire pour la photo ? Non, elle est bien trop occupée à croquer sa carotte...
C'est drôlement bon les carottes crues : à peine la première finie, elle en entame une autre encore plus grande.
À ma grande honte je ne sais pas si ces jeunes femmes sont des cousines de mes cousins ou des amies, mais en tout cas Élodie semble tout à fait ravie.

Nouvelle visite à super papy

Élodie est toujours ravie de retrouver son super papy. Peut-être parce qu'il ne se défendra pas trop quand elle essaiera de lui chiper ses lunettes ?
Élodie : « Dis, papy, ce sont les papiers de super papy dans cette enveloppe ? »
« Je peux les sortir ? Je voudrais juste m'amuser à les froisser, les déchirer, les déchiqueter, en faire des jolis confettis... »
« Mais non, je plaisantais ! »
Élodie conseille son grand-père pour l'élection municipale : « Tu vois, papy, c'est pour lui qu'il faut voter. »
Super papy s'amuse des facéties de son arrière-petite-fille. Elle n'a pas fini de lui en faire voir !

À Palaiseau avec les cousines Camille et Romane

Les jolies cousines d'Élodie : Romane et Camille.
Je crois bien que c'était la première fois que je voyais Romane tirer la langue.
Ce ne serait pas par hasard Camille qui l'aurait appris à sa soeur ?
Qu'en pensent les parents ? Que des bonnes choses, apparemment. Cela semble beaucoup les amuser.
Oh, je vois...
Les trois petites-filles de Michel et Thérèse.
Élodie tâte la truffe du chien en peluche.

Premier anniversaire d'Élodie

Pour fêter les 1 an d'Élodie, Romane est venue accompagnée - entre autres - de sa poupée et de son papy.
Romane voue à son papy un amour vorace.
Xavier.
Miam miam ! Cela a l'air drôlement bon.
N'est-ce pas, mamie Françoise ?
Le sourire enigmatique de la Joconde Camille.

Mariage de Xavier et Marion, le 2 juillet 2001

Xavier et Marion en tête du cortège nuptial.
Ils sont suivis par les parents, frères, soeurs, et témoins, sans oublier les deux filles, Camille et Romane.
Tout ce petit monde descend la rampe de la mairie de Fontenay-sous-Bois.
Dans la salle des mariages, Marion et Xavier attendent que chacun ait trouvé sa place.
Du côté du marié, il y a la famille Combes, avec bien sûr Marie-Christine et Élodie.
Romane s'est assise du côté « Combes » tandis que Camille allait du côté « Debray.»
Il n'y a plus qu'à attendre l'adjointe au maire.
L'attente se prolongeant (l'adjointe ne trouvait plus les textes de loi à lire aux mariés), j'en profite pour filmer Romane.
Qui résisterait à un tel regard ?
Profitant aussi de l'attente, Julia fait quelques pas en tenant les mains de sa maman Agnès.
Quant à Camille, elle vient faire rire Élodie.
« Smouick ! »
Est-ce le bisou de son papa qui fait se pâmer ainsi Camille ?
Enfin les papiers sont retrouvés, et chacun réintègre sa place pour le mariage.
À la sortie, Camille et Romane se disputent la poussette d'Élodie... elle-même préférant faire quelques pas.
Enfin tout le monde quitte les lieux...
... pour se retrouver tous ensemble chez les nouveaux mariés.
Nathalie nous explique comment la Joconde peut se mettre à grimacer (sic).
Tout ceci laisse Grosbidon parfaitement indifférent. Il y a du soleil : tout ce qu'il faut pour être heureux !
Au fond du jardin, une petite piscine permet à Camille et Romane de jouer dans l'eau. Élodie a voulu essayer aussi, mais l'eau était bien trop froide pour elle.

Une balade au dessus de Camprieu

Avant de partir en balade, il faut bien se chausser. Hugo essaye avec application ses chaussures de marche.
Puis tout le monde part à l'assaut de la montagne.
Il faut traverser de hautes broussailles.
L'ascension n'est pas de tout repos. Flora et Cécile encouragent Roman qui en a marre de grimper
Rébecca, quant à elle, fait une pause (et prend la pose).
Mais au final rien n'arrête les aventuriers, qui prennent possession du rocher « n'a-qu'un-oeil » : Isaline qui tient la main de Bernard, Hugo, Roman et Maël.
Arrivés en haut de la montagne, la pause casse-croûte est bienvenue avant de repartir.
Pour le générique de fin, imaginez une musique d'Ennio Morricone. De dos et de gauche à droite : Hugo, Bernard, Isaline, Marie-Laure et Maël.

Trois anniversaires, peu après la naissance de Thibaud

Pour son anniversaire, Romane est toute excitée à l'idée de souffler les bougies du gâteau.
Elle éteint d'un seul souffle les trois bougies, mais...
... l'une des trois persiste à se rallumer malgré tous ses efforts.
Finalement, chacun des enfants vient prêter main forte à Romane en crachant avec application sur le pauvre gâteau.
Tous les cousins et cousines sont venus pour fêter l'anniversaire, mais aussi la naissance de Thibaud. Voici Élodie, Rose-Hélène et Marine.
Marion n'hésite pas à confier Thibaud à Marine qui en meurt d'envie.
Il n'a que 9 jours, mais il pèse quand même près de 4 kilos pour 52 centimètres !
Quelques jours plus tard, ce sont les anniversaires de Simone et de Jean-Yves que nous venons fêter à Palaiseau.
Michel nous accueille toujours avec le sourire.
Quant à Thérèse, la voici lancée dans une grande discussion.
En attendant le repas et les traditionnels gâteaux d'anniversaires, elle arrive à jouer en même temps aux petits chevaux avec Camille et aux cartes avec Romane.
Pendant ce temps, Thibaud passe de bras en bras. Ici ceux de sa maman...
... et là ceux de son papa.
Voici enfin venu le moment pour Simone et Jean-Yves de souffler chacun deux bougies (soit une de moins que Romane dix jours plus tôt). Notez les différentes techniques...
Avec beaucoup de délicatesse, Romane chante en anglais : « Halbay baythday to you ! »
Après le repas, séance de cinéma pour les trois filles (probablement petit ours brun).
Et voici Thibaud, dormant dans les bras de Xavier.

Georges et Nicole à Champigny

À l'occasion de la visite de Georges et Nicole, Françoise a fait quelques photos en gros plan. Bien sûr il y a Georges...
... et Nicole.
Claude.
Érik.
Olivier (c'est moi, quoi...)
Et Marie-Christine.
Moi aussi j'ai pris des photos en gros plan, mais en format paysage (c'est plus logique avec un caméscope). Revoici Georges.
Nicole.
Marie-Christine.
Claude.
Sans oublier Kiwi !
Aidé par sa maman, Élodie joue avec un jouet musical.
Un bisou à travers la porte vitrée...
Mais voyez ce petit air coquin !

Noël 2001 à Palaiseau

Il est presque 16 heures ce jour de Noël : dès que papy Michel a donné le « top », Camille et Romane se précipitent pour ouvrir leurs cadeaux.
Romane qui adore chanter vient de trouver une cassette de chansons d'Anne Sylvestre.
À la question « qu'est-ce que c'est ? », elle répond : « J'ai une cassette, moi... c'est à moi... c'est une cassette de moi... »
Tandis que ses grandes cousines ont déjà ouvert presque tous leurs cadeaux, Élodie est plutôt désorientée devant la montagne de paquets.
Du coup, pendant que Marie-Christine ouvre les cadeaux d'Élodie, celle-ci observe les papiers d'emballage et les jolis rubans.
Pendant ce temps, papy Claude essaye les jouets de sa petite fille pour s'assurer qu'ils ne sont pas défectueux.
Quand j'ai dit qu'Élodie s'intéressait plus aux emballages qu'aux cadeaux, j'ai un peu exagéré. Surtout lorsque un cadeau se trouve être une boîte de chocolat.
Le seul enfant qui échappe encore à l'effervescence de l'ouverture des cadeaux, c'est Thibaud, ici avec sa maman.
Pour Thibaud, Noël c'est déjà l'occasion de se retrouver dans les bras de sa mamie...
... puis dans ceux de son papy.
Voici un moment fabuleux : la découverte par Élodie de Cat-Web, le chat-robot.
C'est un drôle de chat qui bouge la queue en vous fixant de ses yeux lumineux et en poussant des miaulements déchirants.
Quand en plus il se met à avancer vers Élodie, celle-ci amorce une retraite prudente...
Sauve qui peut !!!
Pourtant, Élodie reste intriguée par le chat-robot, et elle l'observe... tout en restant quand même à bonne distance.
Une fois derrière lui, elle va jusqu'à le suivre en disant « miaou ! »
Papy Claude continue à essayer les jouets d'Élodie. Ici, il vient de réussir à rassembler les pions de la même couleur. Chapeau !
Claude n'est pas le seul à vérifier les jouets. Ici, tante Germaine s'assure de la conformité du petit avion à roulettes et à poignée...
... et là c'est Nanette qui vient lui prêter main forte pour tester Cat-Web.
Élodie s'entraîne pour le concours des Beaux-Arts sur une ardoise magique...
... pas mal, n'est-ce pas ?
Finalement, la curiosité l'a emporté sur la peur et Élodie a complètement adopté Cat-Web.
« Ah ! Je ris de me voir si belle en ce miroir (l'écran du caméscope) ! » - D'après ses mimiques, je suis maintenant certain qu'Élodie se reconnaît dans l'image du miroir, malgré tout ce que j'ai pu entendre à ce sujet.
Lire un livre est toujours un moment de bonheur partagé.
Thibaud s'est endormi dans les bras de son papa. Pour le moment il est encore le plus jeune de la famille...
... mais il ne devrait pas le rester très longtemps !

Chorales et théâtre

La Clé des Chants - week-end de travail avec Sophie

Le dimanche, la chef est détendue.
Les choristes aussi sont détendus, surtout les sopranes autour d'Élodie.
Sur son faire-part de naissance, il était écrit qu'Élodie sera musicienne si elle veut : je crois qu'elle veut...
Pas de morosité à craindre non plus chez les altos.
Comment pourrions-nous être tristes, quand on voit le rayon de soleil permanent qui illumine le visage d'Yveline ?
Pouponnons en choeur...

L'ensemble vocal Joyeuse Lumière... ou plutôt l'ensemble vocal de Saint-Gervais... je veux dire l'ensemble vocal Jubilate Deo... enfin l'EVJL quoi !

Week-end de l'ensemble vocal Jubilate Deo. Parmi tous les enfants présents, il y a deux bébés encore plus jeunes qu'Élodie.
La fille de Claire et François : Blandine.
La fille de Cécile et Laurent : Ludivine.
Répétition du matin.
« À la soupe  ! »
Le cadeau de Ludivine pour les déplacements : un lit pliant.

Répétition de théâtre

Liliane et Marie-Agnès jouent deux médecins : Tomès et Des Fonandrès.
Marguerite joue un troisième médecin : Macroton.
Denis, quant à lui, joue à l'imbécile.
En fait il joue aussi un médecin, et même deux : Bahys, puis Filerin.
À presque un an du premier spectacle, on sent qu'il y a encore pas mal de boulot.
Tu en penses quoi, Michel ?
Ah bon ? C'est si terrible que ça ?
Aïe aïe aïe...
Heureusement, il y en a au moins un qui a l'air confiant.
Le reste du choeur revient de répéter dans une salle voisine.
Élodie est toujours aussi passionnée de partitions et autres papiers.
Muriel a réussi à sauver celui-là, mais pour combien de temps ?

Répétition Purcell-Pécou au théâtre de Saint-Quentin

Sur la scène presque vide du théâtre de Saint-Quentin, les choristes arrivés en avance se mettent en place pour la répétition.
Dernières vérifications concernant la partition.
À l'heure dite, on commence...
... avec la chorale au grand complet, ou presque.

Week-end de théâtre à Brioude

Les 24 et 25 novembre, presque tout le groupe des Éphémères se retrouve à Brioude dont voici la belle basilique Saint-Julien.
Juste à côté de l'église, Michel et Marie-Agnès ont restauré une vieille maison, en mettant le plus possible en valeur les pierres existantes. Voici la porte d'entrée.
Cette porte donne sur une petite cour.
Après avoir acheté deux maisons mitoyennes pour en faire une seule, Michel s'est aperçu qu'à l'origine les rez-de-chaussée communiquaient déjà. Cette arche a été démontée pierre par pierre pour consolider le passage, puis remontée à l'identique.
Ce n'étaient pas seulement deux maisons qui communiquaient. On voit ici une deuxième arche : il s'agissait probablement d'une enfilade de boutiques.
Ne pouvant trouver une cheminée d'époque, Michel et Marie-Agnès ont fait le choix d'une cheminée résolument moderne. Personnellement je la trouve superbe.
Avant de commencer le travail, un bon petit-déjeuner s'impose.
En premier lieu, le metteur en scène nous fait travailler des improvisations muettes.
Bien que ne devant pas faire partie du spectacle (les dates de représentation sont trop proches de la date prévue pour l'accouchement), Marie-Christine participe bien volontiers à ces impros.
Ensuite, on joue toutes ces mini-scènes en même temps. Au début, cela fait un peu fouillis.
Mais au bout d'un moment, tout cela s'organise. Sans le savoir, nous venons de mettre en place un élément important de la première partie de l'Amour-Médecin !
Autre travail : jeu en situation avec un texte. Patrick et Michel jouent deux hommes qui se retrouvent sans se souvenir d'où ils se connaissent.
Suit un impromptu de Obaldia. Cécile et Simone jouent respectivement une Julie et une Madame de Crampon très convaincantes...
... très drôles aussi, si l'on en juge par les réactions de l'assistance.
Lors du repas, pris tous ensemble, on parle de ce qui s'est passé le matin, ou bien de toute autre chose.
L'essentiel est de ne jamais oublier de s'amuser.
Le soir, tous ceux qui le voulaient (c'est-à-dire tout le monde) ont joué à un jeu basé sur le théâtre, Comédia.
Ici, je devais lire un texte, en y mettant l'intention de mon choix. J'ai feint de me délecter à l'idée des atrocités du texte imposé...
... il s'agissait du troisième couplet de la Marseillaise.
Je n'ai pas tout filmé (en particulier il manque l'épisode mémorable du poisson pané), mais voici quand même Marie-Agnès et Brigitte sur la plage...
... une fois tartinées de crème solaire, elles sont prêtes à draguer les beaux mecs...
... en route pour la phase de séduction !

Atelier couture

Pour confectionner les costumes de la pièce l'Amour Médecin, Muriel a organisé un atelier clandestin dans la maison des chorales.
Pratiquement tous les acteurs participent aux travaux de couture, aidés par quelques sympathisants.
Il y a de quoi faire : découper...
... coudre...
... piquer à la machine...
... et rigoler, bien sûr.
Il y a même un concours de lancer de boutons, sous l'oeil admiratif de Patrick et celui, plus perplexe, de Cécile.
Muriel ayant fait énormément de travail préparatoire, cela va vite. Voilà déjà Denis en médecin, avec sa collerette.
Admirez aussi la belle robe de Simone dans le rôle de « la Musique » ou « la Danse ».
Elle est aussi belle de dos que de face.

Répétition en costumes à la salle Jacques Brel

Pour cette répétition de l'Amour Médecin à la salle Jacques Brel, la plupart des comédiens sont en costumes.
Puisqu'il s'agit d'une comédie-ballet, il y a bien sûr du chant...
... et de la danse (danse baroque comme il se doit).
Lucinde, fille de Sganarelle, voudrait épouser Clitandre, ce qu'elle confie à sa femme de chambre, Lisette.
Pour son malheur, Sganarelle est prêt à tout donner à sa fille, sauf un mari.
La pièce, commandée à Molière et Lully par le Roi, se devait de ridiculiser les médecins.
Et en effet, des médecins il y en a, ridicules à souhait.
Même Clitandre se fera passer pour un médecin afin de tromper Sganarelle et d'épouser Lucinde. Comme toujours chez Molière on peut s'attendre à un dénouement heureux.

Amis, collègues, etc.

Année 2000

Dans une crèperie de Guidel

« Sauve qui peut !!! »
« Et elle, c'est qui ? Qu'est-ce qu'elle me veut ? »
« Mais c'est qu'elle est rigolote, finalement. »
« Ben quoi ? Vous n'avez jamais vu faire un gros calin ? »

Mimy et Niem à Vitry

Élodie la gourmande, sur les genoux de Mimy qui lui donne un peu de confiture.
« Regarde ! Elle ne veut pas lâcher la cuillère ! »
Élodie semble beaucoup plus intéressée par le verre que par son petit pot. Fille d'ivrogne !
Premiers essais de nourriture solide.

Deux jours chez des amis lyonnais

Bruno et Ronan.
« Y'a bon gâto ! »
Albane n'a que quelques jours de plus qu'Élodie.
Voyez la différence de chevelure !

Veille de noël chez France

Soirée d'avant-noël chez France. Élodie est sur les genoux de Téia.
Un gros calin avec Heïdi.

Année 2001

Changement de millénaire à Lanvénégen

Une partie de « caché-coucou. »
Qui se cache sous le doudou ? Pour le savoir, allez à la photo suivante.
« Coucou ! c'est Heïdi bien sûr ! »
Heïdi et France dans la cuisine de Lanvénégen.
Caroline et Marie-Christine.
Élodie avec tonton-Francis-le-gentil.
Le soir, pour le réveillon, tout le monde se fait beau.
Caroline tente d'être seule sur la photo...
... mais Paul ne se laisse pas faire.
N'est-ce pas un charmant tableau ?
Je vous ai gardé le meilleur pour la fin.
Le lendemain, il est presque minuit et Élodie ne dort toujours pas... mais le premier jour d'un millénaire n'est pas un jour comme les autres.
La traditionnelle photo de groupe, avant de se séparer.

Les 30 ans d'Anne-Séverine

Manon et Noémie. Ce qu'elles ont grandi depuis la dernière fois que je les ai vues !
Les membres de la Tarentelle s'étaient retrouvés autour de la même table.
Jacques et Alix.
Olivier : « Il paraît que maintenant il faut délivrer un diplôme Internet, donc multimédia, aux enfants qui sortent du primaire. »
« Est-ce que nos enseignants et enseignantes sont formés à ça ? »
« Ben évidemment ! »
Travaux pratiques : Anne-Séverine découvre le site Internet créé en secret par Olivier. Et ma foi, elle se débrouille plutôt bien !
Tanguy : « Bon anniversaire ! »
(chanté sur l'air de Vive le vent) « Vive maman, vive maman, vive maman chérie... »
« ... t'as 30 ans aujourd'hui et je t'aime très fort ! »
Pour finir, un diaporama retrace l'enfance d'Anne-Sé. Les spectateurs tentent de séparer le vrai du faux, l'info de l'intox (mais tout était vrai, bien sûr).

Invitation d'un groupe d'amis pour l'anniversaire d'Élodie

On a probablement demandé à Mimy de couper le gâteau en 7 ou en 11 car elle semble très concentrée.
Les autres (ceux qui ne coupent pas) semblent beaucoup s'en amuser.
Magali et Marc.
Marie-Christine.
Christelle.
Avec Franck, les cours de batterie continuent. Ici, apprentissage de l'utilisation des pieds.
Un document rare : Magali dans une imitation de sa maman en train de pouponner. Il est exceptionnel que Magali, par ailleurs extrêmement respectueuse de ses parents, se permette ce genre de choses. Surtout, il est rarissime qu'elle se laisse photographier dans ces moments-là.

Visite d'Adeline et Olivier, ainsi que de Florence

Pour sa première visite dans notre pavillon de Choisy, Adeline nous présente Olivier. Ils seront fiancés dans quatre mois, et mariés dans un an.
Élodie ne se fait pas prier pour manger avec Adeline.
Un peu plus tard, Florence nous a rejoints.
Le repas étant terminé, c'est le moment de jouer.
Et vive les amis !

Les 30 ans de Marie-Édith

Samedi
Marie-Édith a invité sa famille et ses amis dans le château familial en Normandie : la Commanderie de Sainte Vaubourg.
Puisque personne ne connaît tout le monde, Marie-Édith fait les présentations, en commençant par la famille.
Parmi les rares personnes que je connaissais déjà, il y avait évidemment Marie-Christine, mais aussi Magali et Claire.
Pour d'autres, comme ce choriste à la belle perruque, il faudra que je demande à Marie-Édith de me rappeler leurs prénoms.
En plus des costumes, certains ont fait des efforts de maquillage. Par exemple cette jolie salamandre, signe de reconnaissance de trois personnes de la même famille.
Les enfants sont bien sûr de la fête.
Pour certains d'entre eux, le buffet d'apéritifs est fort tentant...
Avant que la nuit ne tombe, il est possible de visiter les oubliettes.
Une fois ressortis, on n'oublie pas de refermer pour éviter un accident.
Tout le monde n'ayant pas profité de la première visite, on remet ça...
Ce que Florence n'avait pas prévu, c'est que la dalle serait si lourde !
De retour à l'intérieur du château.
Une fois Élodie couchée, Marie-Christine profite pleinement de la fête.
Passé 23 heures, certains enfants s'endorment...
... alors que d'autres continueront de danser jusqu'au bout de la nuit !
Pour souffler les bougies du gâteau d'anniversaire, il faut bien « gonfler l'airbag.»
Bravo ! Du premier coup... mais c'était dur.
Puis vient le moment d'ouvrir les cadeaux.
Florence commente avec humour le choix de chaque cadeau.
Bref... une belle soirée d'anniversaire, très réussie.
Dimanche
Le lendemain de la fête, personne n'a beaucoup d'énergie pour autre chose que se prélasser au soleil.
N'est-ce pas, Magali et Claire ?
Élodie s'est trouvée une copine : Gabrielle, alias Gabou, si mes souvenirs sont exacts. Il faudra que je demande à Marie-Édith de rafraîchir ma mémoire.
La même en gros plan.
Anna semble une fille bien coquine...
Dans la famille « salamandre » je voudrais la fille, Estelle.
Près de Christine et Marie-Christine, Gabou a trouvé une pompe à vélo. Celle-ci semble intriguer Élodie.
« Hourra ! J'ai attrapé la pompe à vélo ! »
« Voyons comment cela fonctionne... » (et après ça on s'étonnera si ma fille est gonflée !)
Anna s'en donne à coeur joie sur le cheval à bascule.
Bien évidemment, Élodie veut essayer aussi.
Si Élodie a déjà fait quelques pas debout, ce n'était que chez la nourrice, lorsque son papa et sa maman ne pouvaient pas la voir. En revanche, la marche à quatre pattes ne lui pose plus aucun problème.
Coucou !
La Seine, vue du château...
... et le château, vu de la Seine.
Grâce au zoom, je peux m'approcher sans piétiner les champs qui se trouvent devant.
Après l'anniversaire de Marie-Édith, on fête celui des enfants nés à la même époque.
Lundi
Lundi midi : déjeuner dans la grande cuisine du bas.
Les adultes d'un côté, les enfants de l'autre.
Après le repas, les enfants font fête au grand-père.
Pendant ce temps, Marie-Édith et Magali s'amusent des mimiques d'Élodie.
L'aprés-midi, un peu de sport pour faciliter la digestion.
Gabou a remis son costume de princesse pour s'occuper d'Élodie.
Avant de partir en camping, Marie-Édith s'entraîne à monter la tente qui est l'un de ses cadeaux d'anniversaire.
Magali et Florence auraient bien voulu aider Marie-Édith, mais elle doit apprendre à la monter seule.
Pour une première fois, elle se débrouille drôlement bien.
Il ne reste plus qu'à fixer le double toit..
... et au bout de 19 minutes seulement Marie-Édith prend possession des lieux.
Zip ! C'est fermé.
Un petit coup d'oeil sur les nombreux admirateurs de la nouvelle campeuse.
Encore bravo !
Pour nous c'est la fin du week-end. Le temps de traverser la Seine par le bac, et on rentre à Paris... À quand la prochaine fois ?

Fête de la musique chez Bull aux Clayes-sous-Bois

Dans la grande salle du comité d'entreprise, le public arrive petit à petit.
Derniers conciliabules entre les artistes...
La sympathique et très dynamique chef de choeur joue le rôle d'animatrice.
Je crois bien qu'en dehors d'elle je n'ai jamais vu un chef de choeur autant monté sur ressorts.
En tout cas le résultat est là : je n'ai pas souvent vu de chorale aussi souriante non plus.
Le public est invité à participer et à reprendre le refrain de « il tape sur des bambous » avec le choeur.
D'une année sur l'autre, les guitaristes accompagnent de plus en plus souvent les choristes.
Cela ne les empêche pas de garder toujours un morceau qu'ils interprêtent tout seuls.
Nouveauté cette année : un chant en solo, seulement accompagné au piano.
C'est Joëlle, la prof de piano, qui joue l'accompagnement.
Pour finir, une photo d'une partie du public.

Françoise, Hugues et Christophe au Mazel

Françoise et Hugues se trouvant à Saint-Chély pendant notre séjour au Mazel, ils viennent nous rendre visite avec Christophe, alias Titou.
Titou est d'abord surpris de se voir sur l'écran du caméscope.
La surprise passée, il nous offre un magnifique sourire.
Pendant ce temps, allez savoir pourquoi, Élodie s'est installée dans la caisse de jouets.
« Maman ! Un lion ! »
« Il y a un lion dans le livre d'Élodie ! »
Depuis sa caisse, Élodie joue aux Légo avec Françoise.
Un petit coup de fatigue.
La petite balade de fin d'après-midi passe presque obligatoirement par la fontaine.
Comme Élodie, Christophe est intrigué par l'eau qui coule.
La rencontre de voisins, en vacances comme nous, est l'occasion de discuter un peu.
Mais Élodie est vraiment fatiguée. Il va être temps de rentrer se reposer.

Année 2002

Vacances d'été à Lanvénégen

Voici la façade arrière de l'immense maison qui nous accueille. Elle est encore plus belle qu'avant, depuis qu'elle a été ravalée.
Nos hôtes à la fin du repas de midi, au moment du café.
Sur cette photo je donne un peu l'impression de faire la tête, mais Mimy est tellement radieuse que je la garde.
À propos de Mimy, la voici en train de rejouer « la belle verte » avec Daphné.
Ne vous y trompez pas : ce n'est pas sa girafe qui fait tant sourire Daphné, mais le fait de recevoir autant d'affection.

Photos inclassables ailleurs

Quelques photos-souvenirs en vrac

Comme cadeau de mariage, nous avions demandé un piano. En définitive, nous en avons eu deux. Le plus grand des deux est celui qui figure sur le faire-part de naissance d'Élodie mais celui-ci est au moins aussi beau. Remarquez l'assortiment des couleurs entre le petit et le grand, sur lequel il est posé.
A Pont-Scorff, dans une boutique d'artisanat, quelques rats de plâtre nous montrent le bon exemple.
Au dessus des rats, veillent quelques gentilles sorcières. Voici GROSEILLE avant son déménagement vers Vitry-sur-Seine.
Et voilà JAVOTTE avant son déménagement vers Lanvénégen.

Bricolages dans la maison de Choisy

Travaux d'électricité

Le remplacement du tableau électrique secondaire ayant été plus long que prévu, je me suis improvisé un éclairage portatif avec les moyens du bord.
L'une des écharpes sert à maintenir la torche électrique en place, tandis que l'autre sert à me protéger le crâne, déjà fort endolori.
Le but du jeu était de supprimer ce vieux tableau à fusibles...
... et de le remplacer par un tableau tout neuf avec disjoncteurs bipolaires (c'est-à-dire coupant le neutre en même temps que la phase).
Un cache par dessus, et on ne voit plus la forêt de fils.
Le tableau électrique primaire sera bientôt remplacé, lui aussi.
Détail sur l'immonde bidouille destinée à alimenter la cuisine d'été et l'adoucisseur d'eau. Noter que les fils de terre, ici comme dans la cuisine principale, n'étaient en fait pas reliés à la terre.
A côté de cela, on trouve le compteur électrique le plus moderne qui soit.
Dernier détail : le carnet de relevés d'électricité de l'année 1961 !
Cette photo n'a été prise qu'à la fin de l'année, mais j'avais déjà remplacé le tableau électrique fin février.
Le premier qui trouvera à redire quant à l'horizontalité du tableau est autorisé à venir percer de nouveaux trous dans le béton avec une perceuse sans fil, et presque sans éclairage.

Décollage du papier peint dans la chambre d'Élodie

Marie-Christine décolle le papier-peint de la chambre d'Élodie tandis que celle-ci dort dans son parc.
Bientôt les rayures roses et blanches seront remplacées par de discrètes petites fleurs jaunes agrémentées d'une jolie frise représentant des nounours.

Travaux de chauffage

Les travaux de remplacement de la chaudière devaient durer deux jours : lundi 3 et mardi 4 décembre. Enfin, le dimanche 16 décembre, la chaudière est en place et le programmateur n'est plus monté à l'envers...
Pourtant, tout n'est pas fini. Après avoir bousillé deux brûleurs, nous devons nous résoudre à utiliser des bidons de gasoil au lieu de la cuve de fioul.
En décembre, il fait froid. Du coup, c'est tous les jours que je dois faire un tour à la station-service pour remplir mes bidons de 5, 10 et 20 litres.
Une nouvelle cuve nous est livrée pour remplacer celle enterrée dans le jardin, devenue inutilisable.
Alors que je croyais avoir enfin compris comment fonctionnait la jauge de fioul, celle-ci ne nous servira plus jamais.
Juste un mois après le début des travaux, l'alimentation se fait toujours par bidons. Heureusement, la collection s'étant enrichie de plusieurs bidons dont un de 60 litres, cela m'épargne la corvée de gasoil quotidienne.
L'installation des tuyaux est l'occasion de faire un peu de ménage dans l'existant, par exemple de supprimer l'adoucisseur d'eau inutile.
L'adoucisseur d'eau débranché.
Parmi les objets à jeter il y a aussi bien sûr la vieille jauge.
Les nouveaux tuyaux reliant la nouvelle cuve à la nouvelle chaudière seront bientôt complètement posés. Nos problèmes de chauffage auront duré plus d'un mois, mais au moins nous avons maintenant une installation toute neuve.

Montage d'une armoire dans la nouvelle chambre d'Élodie

Après m'avoir aidé à assembler son lit, Élodie participe au montage d'une grande armoire dans sa nouvelle chambre.
Elle veut tout faire : visser, fixer les équerres ou les tourillons, etc.
Olivier : « C'est ici qu'il faut rentrer le tourillon. Je le fais ? »
Élodie : « Élodie, pas papa ! »
Ça c'est du vrai travail d'équipe !

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