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Sur cette photo, Élodie n'a que quelques heures (moins d'un jour).
N'est-ce pas qu'elle est déjà adorable ?
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Marie-Christine est rayonnante devant notre petit
bout d'chou d'à peine plus d'un jour.
Remarquez le côté pratique des berceaux en
plexiglas transparent !
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Existe-t-il spectacle plus apaisant que le sommeil d'un bébé ?
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Claude, le papa du papa, tient pour la première fois
sa petite fille dans ses bras. Quel effet ça fait
d'être grand-père ?
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Françoise : Alors, elle est pas mignonne ?
Claude : Elle est pas mignonne, elle est a-do-rable !
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Christelle cache difficilement sa joie de pouponner.
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Élodie n'a que deux semaines, et pourtant
elle scrute déjà le monde avec avidité.
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Départ pour une balade avec la petite Élodie dans la poussette.
La photo est prise dans notre ancienne copropriété de Vitry.
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Est-ce une nouvelle danse, ou bien un appel du pied pour le 18 juin ?
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À 3 mois comme à 2 semaines,
Élodie est curieuse de tout ce qui l'entoure.
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« Je vous ai mitonné une de ces recettes... »
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Le bonheur, c'est simple comme un brin de fille.
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Qui est de corvée de vaisselle aujourd'hui ?
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Premiers éclats de rire.
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« Aïe aïe aïe ! J'ai dit une bêtise ! »
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Au lieu de s'endormir tranquillement, Élodie a
décidé de s'asseoir, toute seule, et de
jouer avec le mobile qui est au-dessus de son lit.
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« Ben quoi ? J'ai presque six mois, ça vous étonne tant que ça
que je me tienne assise ? »
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« Celui-là ! C'est celui-là que je veux ! »
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Toujours dans la même situation, un gros plan pour le plaisir.
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Découverte du bébé du miroir.
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La réaction ne se fait pas attendre (pareil pour la maman).
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Un petit bisou (on ne sait jamais : des fois que le
bébé du miroir serait comestible !)
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« Regarde, papa, je renverse mon panier de jouets toute seule ! »
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« Eh ! Je fais comment, maintenant ? »
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« Ouin ! Je me suis fait avoir ! »
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« Ouais ! Tu pourrais m'aider, au lieu de filmer en rigolant ! »
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Les bébés nageurs se retrouvent deux fois par semaine dans un bassin
scolaire dont l'eau est particulièrement chaude, et dont la profondeur
ne dépasse pas 1m50.
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Grâce aux flotteurs, les bébés peuvent évoluer tout seuls dans l'eau.
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Élodie est tellement à l'aise que cela ne l'inquiète pas de quitter
sa maman ou son papa et de partir à l'aventure.
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Virginie est l'une des animatrices. La première fois qu'un bébé vient,
son rôle est le plus souvent de rassurer les parents.
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Des paniers à linge astucieusement disposés dans des blocs de mousse
permettent de jouer en toute sécurité, comme dans le bain.
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Élodie a toujours adoré l'eau. Elle le manifeste en battant vigoureusement
des pieds et des mains.
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Sans les flotteurs, ce n'est pas mal non plus. Cela permet de se faire
dorloter par sa maman.
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Les bébés qui ont commencé tôt conservent le réflexe de l'apnée, et ils
n'ont pas peur de plonger dans l'eau : avant...
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... pendant...
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... et après. Non seulement cela ne l'inquiète pas, mais en plus cela
a l'air de lui plaire si l'on en juge par la mine réjouie et
les moulinets des bras.
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Sans les flotteurs, et sans les bras de maman : comme un poisson
dans l'eau !
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À la sortie de l'eau, l'exubérance n'est plus là. C'est un signe qu'elle
a assez plongé pour aujourd'hui. On va finir la séance de façon plus cool.
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Après le bain, il y a la douche...
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... puis l'habillage, autour du bassin pour ne pas prendre froid en
allant au vestiaire.
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Pendant ce temps, la séance continue avec les plus grands.
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Une autre animatrice, Julie, qui pour une fois est venue prendre des
photos au lieu d'être dans le bassin.
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Quand l'écran du caméscope remplace le miroir, le bébé qu'y voit
Élodie l'intrigue tout autant.
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Élodie ne pleure pas souvent, mais ça lui arrive parfois : pour ceux qui
en doutaient, c'est un vrai bébé !
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Ces pleurs permettent de montrer les deux premières dents.
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Mais heureusement, c'est aussi quand elle rit qu'on voit
les deux dents dehors !
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Élodie n'a jamais voulu accepter le biberon mais elle aime
beaucoup boire à la tasse comme les grands.
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« Hum... »
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Papa regarde la photographe mais Élodie ne détournera pas les yeux de son bol.
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Élodie au piano : « Bon, alors qu'est-ce que je vous joue ? »
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« J'ai un morceau très sympa. Écoutez ça. »
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« Ça vous a plu ? »
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Ce qui me plaît beaucoup chez Élodie, c'est son humour. Elle est toujours
la première à s'amuser des farces qu'on lui fait.
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La voilà toute fière avec son chapeau improvisé.
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Là ce n'est pas de l'étonnement, mais plutôt un petit coup de fatigue.
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À une semaine de son premier anniversaire, Élodie commence à se tenir
debout toute seule.
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Elle peut même lever une jambe : ça tient toujours.
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Une fois debout, elle découvre des objets jusqu'alors inaccessibles.
Ici, c'est le mécanisme d'ouverture de la barrière en haut de l'escalier.
Heureusement il ne s'ouvre pas si facilement.
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Élodie prend vite de l'assurance...
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... au point de pouvoir choisir ses petits pots toute seule.
Il va falloir les changer de place !
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Un mois plus tard, Élodie ne sait bien sûr pas marcher sans se tenir,
mais elle tente déjà des acrobaties. Ici, elle grimpe sur son « chien
à roulettes » après l'avoir renversé.
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La position ne semble pas inconfortable ni même précaire...
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... et elle essaye même de grimper encore plus haut !
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Même exercice sur son jouet en forme de siège bébé. Il y a plus de place
pour poser les pieds, mais le siège bascule d'avant en arrière...
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... pourtant notre petite cascadeuse n'a pas l'air d'être incommodée
le moins du monde.
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Élodie a déjà fait quelques pas, en particulier chez la nourrice. Thérèse
tente de la voir à l'oeuvre, en l'attirant avec ce qu'elle adore :
des fleurs...
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... demi-succès (ou demi-échec) : pour les fleurs Élodie lâche la table mais
elle ne fait pas encore un pas en avant.
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Nouvelle tentative. D'abord Élodie se tient au doigt de sa maman...
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... puis elle lâche le doigt. Va-t-elle avancer ?
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Oui ! Elle fait un pas toute seule !
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Encouragée par ce succès, elle fait un deuxième pas ! Va-t-elle continuer ?
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Mais oui !!! Encore un ?
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Oups ! Non, ça fait beaucoup à la fois. Trois pas d'affilée, quand même !
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On va continuer à quatre pattes, c'est quand même plus sûr.
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J'aime beaucoup cette image du clown-culbuto qui veille sur le
sommeil d'Élodie.
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Il faut dire que l'apprentissage de la marche, cela fatigue.
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La même, vue de dessus.
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Cette photo a été prise
pour inviter nos voisins à un apéritif, histoire de faire connaissance.
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D'un mois sur l'autre, Élodie a souvent changé de forme de visage
- ici, celui-ci est un peu plus triangulaire - mais elle a toujours
eu ses grands yeux tout ronds.
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Mamie Françoise et Papy Claude tentent de faire rire Élodie en se
lançant un petit poisson en plastique rouge d'un bout à l'autre de
la table...
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... et ça marche !
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L'un des cadeaux offerts à Élodie pour son premier anniversaire est cette
superbe balançoire. Quand elle y est, il est très difficile de l'en sortir.
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L'heure du bain est toujours un moment privilégié...
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... surtout quand on le prend avec maman !
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Parfois on en profite pour essayer de manger le bec du mélangeur.
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Ça n'a pas l'air mauvais.
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Chez papy Michel aussi, il y a une balançoire. Il y en a même plusieurs
pour se balancer ensemble.
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Quel bonheur !
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Pour la deuxième fois je prends le caméscope pour filmer la séance de
bébés nageurs. Arrivée d'Élodie avec sa maman.
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La baignade est toujours aussi appréciée.
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Prié de faire un bisou à Élodie, Victor tente de la manger...
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... cela fait bien rire les deux mamans ainsi que Virginie.
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Un autre copain de baignade : Louis, avec ses parents.
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Claire et son papa.
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Parée à plonger ?
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C'est parti !
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Oups...
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Un gros bisou pour se faire pardonner.
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Un peu toute seule, avec les bouées.
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Hors de l'eau, avec la maman de Mathilde.
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En route pour la Lozère, sur une aire d'autoroute.
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« Toutes les deux heures, une pause s'impose »... surtout quand il y a
une balançoire et un toboggan !
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Devant la maison du Mazel des Laubies. Il fait plutôt froid pour un 17
juillet, mais en se couvrant bien on peut quand même jouer dehors.
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On a au moins une chance : il ne pleut pas.
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Derrière l'église de Javols, on joue à « attrape-doudou ».
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Maman a réussi à attraper l'un des coins du doudou...
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Et hop !
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Élodie a récupéré son doudou. « Viens le chercher ! » dit-elle
avec les yeux.
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Après s'être beaucoup dépensée, un câlin cela repose.
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Voyez ce petit air coquin !
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Laquelle est la plus heureuse des deux ?
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Le plus heureux, c'est peut-être le papa quand il voit ce joli tableau !
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Encore un petit air coquin... pas de doute, c'est bien la même.
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« Mâmon ! »
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Mmmh... un petit brin de fille comme ça, on en mangerait !
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Prés de la réserve de bisons d'Europe (Sainte-Eulalie), il y a quelques
jeux dont une balançoire pour Olivier et sa fille.
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« Olivier, on te verrait mieux sans ta casquette », dit Marie-Christine.
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Pas de problème !
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Est-il nécessaire de rajouter un commentaire sur cette photo ?
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De retour au Mazel à la fin du mois d'août, le soleil permet de jouer
au bac à sable.
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Pas encore habituée à marcher dans le sable, Élodie préfère rester à
l'extérieur, sur la terre ferme.
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D'ailleurs, d'où elle est, elle peut jouer avec le sable tout autant que
la cousine Camille et les petits voisins.
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Benjamin, qui habite la première des sept maisons.
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Deux spectatrices : Thérèse et Marie-Christine.
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Élodie vient d'apercevoir le ballon.
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« J'ai ! »
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Se voyant sur l'écran du caméscope, elle pousse des cris de joie.
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« Hum... la casquette est un peu de travers. »
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« A'vwa' Papa ! »
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Papy Michel montre à Élodie le klaxon du tracteur.
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Pour le moment, elle sait surtout faire de la marche arrière.
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Aussi, elle commence à savoir monter et descendre toute seule.
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On ne se lasse jamais de lire un livre.
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C'est papa qui a plus de mal à lire quand il y a Élodie.
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Depuis le Mazel des Laubies, nous rayonnons un peu. Nous voici à Camprieu,
chez Vévé.
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Pendant que les plus grands se préparent à partir en balade, Élodie
essaye l'une après l'autre toutes les chaises de la maison.
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Là, c'est une « ferme pédagogique » à quelques kilomètres à peine
du Mazel.
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Les cerfs ne sont pas le moins du monde effrayés par Élodie. Le guide
nous a expliqué que s'ils avaient eu peur, leur derrière serait devenu
tout blanc.
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Élodie ne semble pas plus effrayée par les cerfs, mais je n'ai pas
examiné son derrière pour le vérifier.
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Un peu plus tard, au Truc de Fortunio. Les trucs
en Lozère sont des sommets élevés. Élodie, ne se trouvant pas assez haut,
grimpe encore sur la voiture.
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De retour au Mazel, la star Élodie pose pour la photo.
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Élodie et Marie-Christine au Pont des Estrets.
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Chez Paul et Françoise à Chabanes, Élodie entre et sort en escaladant
la porte-fenêtre, sous le regard un peu inquiet de sa maman.
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Balade près du lac de Charpal. On commence par faire une pause.
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C'est la première fois que nous essayons le porte-bébé. Très utile pour
les longues marches.
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Durant toute la balade, Élodie n'a pas cessé de pousser des petits cris
joyeux.
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Au retour, Élodie me tirant les cheveux, c'est moi qui pousse des petits
cris...
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On a toujours prétendu qu'elle n'avait pas beaucoup de cheveux... cela
ne les empêche pourtant pas de voler au vent !
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À Marvejols, une place est entourée de bornes reliées par des chaînes.
Élodie a décidé de passer.
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Aidée par sa maman, et sans lâcher le doudou, elle trouve toute seule
comment enjamber la chaîne.
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À mi-chemin, Élodie pousse son cri de guerre qui l'aidera à finir la
traversée en passant la jambe gauche.
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À peine est-elle de l'autre côté qu'Élodie se précipite pour ramasser
un mégot par terre.
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Je ne vous l'ai peut-être pas encore dit, mais elle est en pleine phase
de nettoyage des espaces publics des centaines de mégots qui s'y trouvent.
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Ce travail achevé, il est temps de repartir de l'autre côté. Admirez la
grâce de la gymnaste.
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C'était une autre méthode, inspirée de la roulade avant.
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Retour avec une autre tentative : pieds joints.
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Je vous ai épargné la chute qui a suivi. L'essentiel est d'y être arrivée.
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On recommence, avec une combinaison des deux premières techniques
(ciseaux + roulade avant).
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Notez que l'assistante de l'athlète a du mal à garder son sérieux.
On se demande bien pourquoi.
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Bon c'est pas tout ça mais il s'agirait de repasser de l'autre côté.
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Après un certain nombre de traversées dans les deux sens, on sent quand
même une certaine lassitude chez Marie-Christine qui se demande quand
tout cela va finir.
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Le soir de la visite de Marvejols, nous dînons au restaurant « les Portes
d'Apcher ». Admirez la petite fille modèle.
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Bien sûr au début on ne peut pas lui refuser quelques biscuits d'apéritif
qu'elle avale goulûment.
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Avant de nous installer, nous avions vérifié que l'on pourrait donner
à Élodie quelque chose à son goût, en l'occurence un potage de légumes.
Cette photo montre la seule cuillerée que mademoiselle a bien
voulu accepter.
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En effet, le ris de veau de maman semble bien plus appétissant...
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Après le ris de veau, c'est de l'aligot que mange Élodie.
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Rien à voir avec le potage de légumes ! En plus c'est bien meilleur
quand on tient la cuiller toute seule.
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Mmmmh ! Quel délice !
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Avant d'aller à Champigny voir les grands-parents et super-papy, nous
visitons une exposition d'animaux domestiques au parc floral de Vincennes.
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Élodie a la possibilité d'y caresser un chat (celui-ci ne se sauve pas
contrairement à Kiwi).
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Elle caresse aussi des chiens...
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... et même des extincteurs !
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Toutes ces péripéties l'ont exténuée, et elle dort dans la poussette
au retour.
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Arrivée à Champigny, Élodie joue les clowns derrière une vitre.
Elle aurait quand même pu mieux choisir la couleur de son faux nez !
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Complètement réveillée à présent, Élodie conduit sa petite voiture.
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Devant l'oeil interrogateur de Kiwi, elle arrive même à faire de la marche
avant pour la première fois.
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Dans l'après-midi, nous rendons visite à super-papy. Élodie découvre qu'il
a un nez.
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Une fois encore, elle n'est pas avare de caresses : sur le front...
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... et sur la joue.
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Que de tendresse dans leurs deux regards... et par suite dans le mien.
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Dans la famille « câlins » je voudrais le papa et le super-papy !
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Autour de la table basse, au moyen d'une balle de ping-pong,
Élodie fait jouer la jeune chatte Kiwi (à peine trois mois).
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Décomposons le mouvement. D'abord, Élodie ramasse la balle par terre.
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Elle la lance sur la table, de sorte que cela fasse le plus de bruit
possible.
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Ensuite elle se retourne pour voir s'élancer Kiwi.
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Au passage de la chatte, Élodie éclate de rire.
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Tiens ? Kiwi n'est pas sortie de dessous la table. Voyons voir où elle
peut être...
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Oh ! La voilà !
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Vite, courons-lui après !
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Pas folle, Kiwi ne demande pas son reste. Elle fuit
en abandonnant la balle par terre.
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Élodie n'a plus qu'à se baisser pour la ramasser...
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... et c'est reparti !
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Pour le moment, Élodie n'a qu'une seule cassette vidéo.
Ce sont quatre épisodes de Pingu d'une dizaine de minutes chacun.
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Élodie est très concentrée sur l'histoire du petit pingouin qui joue
avec son cerf-volant sur la banquise.
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Bien que connaissant l'histoire par coeur, elle réagit très fort à chaque
fois. Ici, le cerf-volant vient de tomber sur le toit de l'igloo familial.
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Pingu va-t-il réussir à rattraper son cerf-volant ?
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Oh ! Il est en train de tomber...
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Oh non !... Le cerf-volant est tout cassé !
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Élodie est triste pour Pingu qui a perdu son cerf-volant.
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Heureusement, avec l'aide du grand-père, Pingu et sa soeur Pinga
construisent un autre cerf-volant, encore plus beau que le premier.
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Ouf ! L'histoire se termine bien en fin de compte, mais que d'émotions !
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Tous les quinze jours, à la bibliothèque des jeunes de Choisy, a lieu
« Imagimots », une séance de contes pour les 0-3 ans.
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Le jeune public se compose en grande partie des enfants du centre aéré.
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D'autres viennent accompagnés de leurs parents, du moins pour ceux qui
ne travaillent pas le mercredi.
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Élodie n'arrive pas à se décider entre rester assise à côté de sa maman
et rejoindre les autres enfants sur le tapis.
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Finalement elle choisit d'aller sur le tapis, mais avec papa.
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Après les contes, la promenade dans le parc de la mairie s'impose, avec
visite aux canards et cygnes du bassin.
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C'est encore l'hiver, et les canards passent autant de temps sur la glace
que dans l'eau.
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Heureusement le petit chaperon rouge est bien protégé du froid.
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Le parc du Stérou, aussi nommé parc Aquanature, nous accueille avec un
très bel arbre.
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Sur le chemin d'accès, c'est Élodie qui se charge de la poussette :
« tout-seule ! »
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Dans le parc, de grands aquariums abritent des poissons de toutes sortes.
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On peut aussi se promener le long de jolis ruisseaux.
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Jouer avec l'eau est toujours aussi amusant.
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Je vous laisse deviner ce que font exactement Marie-Christine et Élodie.
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On ne peut pas repartir avant d'avoir fait un peu de toboggan.
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Arrivée en haut, Élodie est toute fière.
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Un petit coup d'oeil en arrière qui semble dire :
« Regarde, maman, sans les mains ! »
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Et hop !
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Dans la « Ferme de Dame Nature » Élodie observe avec intérêt des béliers
à barbiche.
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Lesdits béliers ne mourront pas de faim. En même temps que nos billets
d'entrée, nous avons acheté un grand sac de pain pour nourrir les animaux.
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Finalement, qu'ils mangent ou non, Élodie s'en lave les mains.
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Sur la droite, malgré leur cou allongé, ce sont bien des canards. En revanche
je n'ai pas su identifier ce curieux animal qui se tient sur deux pattes
et qui, contrairement au kangourou, porte sa poche dans le dos.
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Élodie entraîne son père dans une course (presque) effrénée avant de
continuer la visite.
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Ici, c'est Élodie qui nourrit les animaux. D'abord une petite chèvre...
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... puis une plus grande. Pour ne pas se faire mordre les doigts, Élodie
ouvre au maximum sa main droite... et la gauche aussi d'ailleurs.
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De temps en temps, quand elle trouve un pissenlit, Élodie s'amuse à souffler
dessus comme elle fait avec toutes les bougies.
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Vers la fin de la visite, nous entrons carrément dans l'enclos des petites
chèvres, pour lesquelles il nous était conseillé de garder du pain.
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En effet elles sont sacrément gourmandes, les coquines.
Il faut les voir se précipiter vers quiconque porte un sac de nourriture.
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Certaines n'hésitent pas à nous bousculer un peu si cela ne va pas assez
vite.
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Pendant ce temps, Daphné s'est fait un peu lécher les pieds mais elle
reste stoïque.
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Juste avant la sortie, Élodie a le plaisir de s'asseoir dans un tracteur.
Ayant l'habitude de jouer à conduire la voiture, elle demande que l'on
« fe'me la po'te »...
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N'empêche qu'elle prend son rôle très au sérieux. Elle tourne le volant...
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... et elle passe même les vitesses.
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Ce matin à 2 heures moins 20 est née la petite Daphné. Après les têtées
son visage est presque aussi rouge que son pyjama, mais le reste du temps
elle va très bien, merci.
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Élodie est venue voir sa maman et sa soeur. Avant de monter sur
le lit, elle retire ses bottes.
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« Je peux toucher le bébé ? »
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Depuis longtemps nous avions préparé Élodie à la venue de sa petite soeur.
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Pour tenter de limiter les risques de jalousie, Élodie a même reçu un
cadeau « de la part de Daphné ».
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En fait de jalousie, la grande soeur a tout de suite manifesté beaucoup
de tendresse envers sa cadette.
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Dès le début, elle lui a fait de très douces caresses sur la tête...
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... ainsi que de très douces caresses sur le ventre...
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... et surtout de tendres bisous !
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Françoise, la maman du papa, fait partie des premières personnes à tenir
Daphné dans ses bras.
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Le teint rouge dû à la chaleur de la têtée n'a pas complètement quitté
ses joues.
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Claude, le papa du papa.
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C'est beau, un bébé qui dort...
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... n'est-ce pas ?
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Daphné a juste 5 mois aujourd'hui. Pendant que papa et la grande soeur
font du bricolage, elle joue tranquillement dans son parc.
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Un mois plus tard, en Bretagne. Daphné a une grande variété de sourires,
celui-ci exprimant le simple bonheur de vivre.
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Ses sourires les plus fréquents ont un éclat malicieux dans le coin des
yeux. Quand en plus la langue est de sortie, elle semble vraiment
se moquer de nos regards émus.
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Un gros plan pour le plaisir.
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Encore un autre pour voir le petit menton. Même quand la bouche ne sourit
pas franchement, on retrouve l'éclat malicieux dans les yeux de Daphné.
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« Regardez, j'ai attrapé mes pieds ! »
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« Hé ! »
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Le choc des générations : super papy découvre son arrière-petite-fille,
née plus de 100 ans après lui.
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« C'est grâce au lait maternel qu'elle est si belle, » dit-il.
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Quatre mois après cette première rencontre, toute la famille se retrouve
pour fêter les 101 ans de super papy.
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Arrivée devant le portail, chez Françoise et Claude.
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Françoise accueille son papa, qui n'a pas besoin de fauteuil roulant
pour les derniers mètres.
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1 siècle 1 an et 1 jour, et toujours en pleine forme !
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Élodie est tellement mignonne que toutes les cousines se l'arrachent :
ici dans les bras d'Anne-Sophie à Chabanes-Planes...
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... là dans les bras de Violaine à Saint-Chély d'Apcher...
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|
... toujours dans les bras de Violaine, Élodie se laisse faire d'un
air blasé tandis que Sixtine la regarde avec le plus grand intérêt.
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Chez Vévé à Millau, Maël et Hugo : anges ?...
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... ou démons ? (voir aussi le jeu des cascous)
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Vévé dans sa cuisine à Millau. Pour info, c'est dans cette cuisine qu'Élodie
a pris pour la première fois son bain dans un évier.
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Toujours chez Vévé, Élodie est très entourée. D'un côté, son père Olivier
surpris en train de lire des histoires qui ne sont plus de son âge (les
contes de la rue Broca). De l'autre, Hugo et sa petite soeur Isaline.
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t - 10 secondes
Hugo installe sportivement la casquette sur la tête de son adversaire Maël.
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t - 1 seconde
Préparation du lancer.
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t - 160 millisecondes
C'est parti !
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t - 80 millisecondes
Le coussin semble dans la bonne direction. Va-t-il toucher ?
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t = 0
Touché !
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t + 40 millisecondes
La casquette décolle, c'est gagné.
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|
t + 120 millisecondes
Observez le geste souple du joueur qui a accompagné son mouvement.
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|
t + 160 millisecondes
Vous pouvez noter que le joueur s'est levé de l'escalier qui lui servait
de chaise. Les arbitres décideront, au vu du ralenti, s'il l'a fait avant
d'avoir lâché le coussin, ou bien après.
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t + 1 seconde
Maël vient de réaliser que son adversaire a marqué un point. C'est
maintenant à son tour de jouer, pour tenter d'égaliser.
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« À la tienne, frérot ! »
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Papy Claude nourrit sa petite fille selon la technique de
« l'attaque en piqué » sous le regard anxieux de tante Simone
(en réalité, elle ne se ronge pas les ongles d'inquiétude, mais
grignote un gâteau d'apéritif).
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Elle est pas mignonne aussi, la cousine Romane ?
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Avec mamie Françoise.
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Papy Michel avec Élodie qui, une fois n'est pas coutume, suce son pouce
plutôt que l'index et le majeur.
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Élodie ayant constaté que l'on s'amusait beaucoup au jeu de
« caché-coucou », elle s'est mise à y jouer toute seule, pour
notre plus grand plaisir.
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Tante Germaine avec Élodie et le canard Léopold.
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Pour son anniversaire, Tristan a joué avec brio le « Christ en bois »
de Gaston Couté.
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Lucile, fille de Véronique et de Laurent, est la première petite fille de
Tristan et Marie-Claude.
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Lucile dans les bras de Véronique.
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Véronique et Laurent.
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Bien entendu Élodie était de la fête, et ses grands-parents aussi.
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Élodie, un petit sourire pour la photo ? Non, elle est bien trop occupée à
croquer sa carotte...
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C'est drôlement bon les carottes crues : à peine la première finie,
elle en entame une autre encore plus grande.
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À ma grande honte je ne sais pas si ces jeunes femmes sont des cousines
de mes cousins ou des amies, mais en tout cas Élodie semble tout à fait
ravie.
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Élodie est toujours ravie de retrouver son super papy. Peut-être
parce qu'il ne se défendra pas trop quand elle essaiera de lui
chiper ses lunettes ?
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Élodie : « Dis, papy, ce sont les papiers de super papy dans
cette enveloppe ? »
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« Je peux les sortir ? Je voudrais juste m'amuser à les froisser,
les déchirer, les déchiqueter, en faire des jolis confettis... »
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« Mais non, je plaisantais ! »
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Élodie conseille son grand-père pour l'élection municipale :
« Tu vois, papy, c'est pour lui qu'il faut voter. »
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Super papy s'amuse des facéties de son arrière-petite-fille.
Elle n'a pas fini de lui en faire voir !
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Xavier et Marion en tête du cortège nuptial.
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Ils sont suivis par les parents, frères, soeurs, et témoins, sans
oublier les deux filles, Camille et Romane.
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Tout ce petit monde descend la rampe de la mairie de Fontenay-sous-Bois.
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Dans la salle des mariages, Marion et Xavier attendent que chacun ait
trouvé sa place.
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Du côté du marié, il y a la famille Combes, avec bien sûr Marie-Christine
et Élodie.
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Romane s'est assise du côté « Combes » tandis que Camille allait du
côté « Debray.»
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Il n'y a plus qu'à attendre l'adjointe au maire.
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L'attente se prolongeant (l'adjointe ne trouvait plus les textes de loi à
lire aux mariés), j'en profite pour filmer Romane.
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Qui résisterait à un tel regard ?
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Profitant aussi de l'attente, Julia fait quelques pas en tenant les mains
de sa maman Agnès.
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Quant à Camille, elle vient faire rire Élodie.
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« Smouick ! »
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Est-ce le bisou de son papa qui fait se pâmer ainsi Camille ?
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Enfin les papiers sont retrouvés, et chacun réintègre sa place pour le
mariage.
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À la sortie, Camille et Romane se disputent la poussette d'Élodie...
elle-même préférant faire quelques pas.
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Enfin tout le monde quitte les lieux...
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... pour se retrouver tous ensemble chez les nouveaux mariés.
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Nathalie nous explique comment la Joconde peut se mettre à grimacer (sic).
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Tout ceci laisse Grosbidon parfaitement indifférent. Il y a du soleil :
tout ce qu'il faut pour être heureux !
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Au fond du jardin, une petite piscine permet à Camille et Romane de
jouer dans l'eau. Élodie a voulu essayer aussi, mais l'eau était bien
trop froide pour elle.
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Avant de partir en balade, il faut bien se chausser. Hugo essaye avec
application ses chaussures de marche.
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Puis tout le monde part à l'assaut de la montagne.
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Il faut traverser de hautes broussailles.
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L'ascension n'est pas de tout repos. Flora et Cécile encouragent
Roman qui en a marre de grimper
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Rébecca, quant à elle, fait une pause (et prend la pose).
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Mais au final rien n'arrête les aventuriers, qui prennent possession du
rocher « n'a-qu'un-oeil » : Isaline qui tient la main de Bernard, Hugo,
Roman et Maël.
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Arrivés en haut de la montagne, la pause casse-croûte est bienvenue
avant de repartir.
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Pour le générique de fin, imaginez une musique d'Ennio Morricone. De dos
et de gauche à droite : Hugo, Bernard, Isaline, Marie-Laure et Maël.
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Pour son anniversaire, Romane est toute excitée à l'idée de souffler
les bougies du gâteau.
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Elle éteint d'un seul souffle les trois bougies, mais...
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... l'une des trois persiste à se rallumer malgré tous ses efforts.
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Finalement, chacun des enfants vient prêter main forte à Romane en crachant
avec application sur le pauvre gâteau.
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Tous les cousins et cousines sont venus pour fêter l'anniversaire,
mais aussi la naissance de Thibaud. Voici Élodie, Rose-Hélène et Marine.
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Marion n'hésite pas à confier Thibaud à Marine qui en meurt d'envie.
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Il n'a que 9 jours, mais il pèse quand même près de 4 kilos pour 52
centimètres !
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Quelques jours plus tard, ce sont les anniversaires de Simone et de
Jean-Yves que nous venons fêter à Palaiseau.
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Michel nous accueille toujours avec le sourire.
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Quant à Thérèse, la voici lancée dans une grande discussion.
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En attendant le repas et les traditionnels gâteaux d'anniversaires,
elle arrive à jouer en même temps aux petits chevaux avec Camille
et aux cartes avec Romane.
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Pendant ce temps, Thibaud passe de bras en bras. Ici ceux de sa maman...
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... et là ceux de son papa.
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Voici enfin venu le moment pour Simone et Jean-Yves de souffler chacun
deux bougies (soit une de moins que Romane dix jours plus tôt).
Notez les différentes techniques...
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Avec beaucoup de délicatesse, Romane chante en anglais :
« Halbay baythday to you ! »
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Après le repas, séance de cinéma pour les trois filles (probablement
petit ours brun).
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Et voici Thibaud, dormant dans les bras de Xavier.
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Il est presque 16 heures ce jour de Noël : dès que papy Michel a donné le
« top », Camille et Romane se précipitent pour ouvrir leurs cadeaux.
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Romane qui adore chanter vient de trouver une cassette de chansons
d'Anne Sylvestre.
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À la question « qu'est-ce que c'est ? », elle répond : « J'ai une
cassette, moi... c'est à moi... c'est une cassette de moi... »
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Tandis que ses grandes cousines ont déjà ouvert presque tous leurs cadeaux,
Élodie est plutôt désorientée devant la montagne de paquets.
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Du coup, pendant que Marie-Christine ouvre les cadeaux d'Élodie, celle-ci
observe les papiers d'emballage et les jolis rubans.
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Pendant ce temps, papy Claude essaye les jouets de sa petite fille pour
s'assurer qu'ils ne sont pas défectueux.
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Quand j'ai dit qu'Élodie s'intéressait plus aux emballages qu'aux cadeaux,
j'ai un peu exagéré. Surtout lorsque un cadeau se trouve être une boîte de
chocolat.
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Le seul enfant qui échappe encore à l'effervescence de l'ouverture des
cadeaux, c'est Thibaud, ici avec sa maman.
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Pour Thibaud, Noël c'est déjà l'occasion de se retrouver dans les bras
de sa mamie...
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... puis dans ceux de son papy.
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Voici un moment fabuleux : la découverte par Élodie de Cat-Web, le chat-robot.
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C'est un drôle de chat qui bouge la queue en vous fixant de ses yeux
lumineux et en poussant des miaulements déchirants.
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Quand en plus il se met à avancer vers Élodie, celle-ci amorce une retraite
prudente...
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Sauve qui peut !!!
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Pourtant, Élodie reste intriguée par le chat-robot, et elle l'observe...
tout en restant quand même à bonne distance.
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Une fois derrière lui, elle va jusqu'à le suivre en disant « miaou ! »
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Papy Claude continue à essayer les jouets d'Élodie. Ici, il vient de réussir
à rassembler les pions de la même couleur. Chapeau !
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Claude n'est pas le seul à vérifier les jouets. Ici, tante Germaine s'assure
de la conformité du petit avion à roulettes et à poignée...
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... et là c'est Nanette qui vient lui prêter main forte pour tester Cat-Web.
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Élodie s'entraîne pour le concours des Beaux-Arts sur une ardoise magique...
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... pas mal, n'est-ce pas ?
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Finalement, la curiosité l'a emporté sur la peur et Élodie a complètement
adopté Cat-Web.
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« Ah ! Je ris de me voir si belle en ce miroir (l'écran du caméscope) ! »
- D'après ses mimiques, je suis maintenant certain qu'Élodie se reconnaît dans
l'image du miroir, malgré tout ce que j'ai pu entendre à ce sujet.
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Lire un livre est toujours un moment de bonheur partagé.
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Thibaud s'est endormi dans les bras de son papa. Pour le moment il est
encore le plus jeune de la famille...
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... mais il ne devrait pas le rester très longtemps !
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Liliane et Marie-Agnès jouent deux médecins : Tomès et Des Fonandrès.
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Marguerite joue un troisième médecin : Macroton.
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Denis, quant à lui, joue à l'imbécile.
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En fait il joue aussi un médecin, et même deux : Bahys, puis Filerin.
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À presque un an du premier spectacle, on sent qu'il y a encore pas
mal de boulot.
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Tu en penses quoi, Michel ?
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Ah bon ? C'est si terrible que ça ?
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Aïe aïe aïe...
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Heureusement, il y en a au moins un qui a l'air confiant.
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Le reste du choeur revient de répéter dans une salle voisine.
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Élodie est toujours aussi passionnée de partitions et autres papiers.
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Muriel a réussi à sauver celui-là, mais pour combien de temps ?
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Les 24 et 25 novembre, presque tout le groupe des Éphémères se retrouve
à Brioude dont voici la belle basilique Saint-Julien.
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Juste à côté de l'église, Michel et Marie-Agnès ont restauré une vieille
maison, en mettant le plus possible en valeur les pierres existantes.
Voici la porte d'entrée.
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Cette porte donne sur une petite cour.
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Après avoir acheté deux maisons mitoyennes pour en faire une seule, Michel
s'est aperçu qu'à l'origine les rez-de-chaussée communiquaient déjà.
Cette arche a été démontée pierre par pierre pour consolider le passage,
puis remontée à l'identique.
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Ce n'étaient pas seulement deux maisons qui communiquaient. On voit ici
une deuxième arche : il s'agissait probablement d'une enfilade de boutiques.
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Ne pouvant trouver une cheminée d'époque, Michel et Marie-Agnès ont fait le
choix d'une cheminée résolument moderne. Personnellement je la trouve superbe.
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Avant de commencer le travail, un bon petit-déjeuner s'impose.
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En premier lieu, le metteur en scène nous fait travailler des improvisations
muettes.
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Bien que ne devant pas faire partie du spectacle (les dates de représentation
sont trop proches de la date prévue pour l'accouchement), Marie-Christine
participe bien volontiers à ces impros.
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Ensuite, on joue toutes ces mini-scènes en même temps. Au début, cela fait
un peu fouillis.
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Mais au bout d'un moment, tout cela s'organise.
Sans le savoir, nous venons de mettre en place un élément important
de la première partie de l'Amour-Médecin !
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Autre travail : jeu en situation avec un texte. Patrick et Michel jouent
deux hommes qui se retrouvent sans se souvenir d'où ils se connaissent.
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Suit un impromptu de Obaldia. Cécile et Simone jouent respectivement une
Julie et une Madame de Crampon très convaincantes...
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... très drôles aussi, si l'on en juge par les réactions de l'assistance.
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Lors du repas, pris tous ensemble, on parle de ce qui s'est passé le
matin, ou bien de toute autre chose.
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L'essentiel est de ne jamais oublier de s'amuser.
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Le soir, tous ceux qui le voulaient (c'est-à-dire tout le monde) ont joué
à un jeu basé sur le théâtre, Comédia.
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Ici, je devais lire un texte, en y mettant l'intention de mon choix.
J'ai feint de me délecter à l'idée des atrocités du texte imposé...
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... il s'agissait du troisième couplet de la Marseillaise.
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Je n'ai pas tout filmé (en particulier il manque l'épisode mémorable du
poisson pané), mais voici quand même Marie-Agnès et Brigitte sur la plage...
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... une fois tartinées de crème solaire, elles sont prêtes à draguer les
beaux mecs...
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... en route pour la phase de séduction !
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Pour confectionner les costumes de la pièce l'Amour Médecin,
Muriel a organisé un atelier clandestin dans la maison des chorales.
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Pratiquement tous les acteurs participent aux travaux de couture,
aidés par quelques sympathisants.
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Il y a de quoi faire : découper...
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... coudre...
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... piquer à la machine...
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... et rigoler, bien sûr.
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Il y a même un concours de lancer de boutons, sous l'oeil admiratif de
Patrick et celui, plus perplexe, de Cécile.
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Muriel ayant fait énormément de travail préparatoire, cela va vite.
Voilà déjà Denis en médecin, avec sa collerette.
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Admirez aussi la belle robe de Simone dans le rôle de « la Musique » ou
« la Danse ».
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Elle est aussi belle de dos que de face.
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Pour cette répétition de l'Amour Médecin à la salle Jacques
Brel, la plupart des comédiens sont en costumes.
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Puisqu'il s'agit d'une comédie-ballet, il y a bien sûr du chant...
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... et de la danse (danse baroque comme il se doit).
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Lucinde, fille de Sganarelle, voudrait épouser Clitandre, ce qu'elle confie
à sa femme de chambre, Lisette.
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Pour son malheur, Sganarelle est prêt à tout donner à sa fille, sauf un mari.
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|
La pièce, commandée à Molière et Lully par le Roi, se devait de ridiculiser
les médecins.
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|
Et en effet, des médecins il y en a, ridicules à souhait.
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Même Clitandre se fera passer pour
un médecin afin de tromper Sganarelle et d'épouser Lucinde. Comme toujours
chez Molière on peut s'attendre à un dénouement heureux.
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Une partie de « caché-coucou. »
Qui se cache sous le doudou ? Pour le savoir, allez à la photo suivante.
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« Coucou ! c'est Heïdi bien sûr ! »
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Heïdi et France dans la cuisine de Lanvénégen.
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Caroline et Marie-Christine.
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Élodie avec tonton-Francis-le-gentil.
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Le soir, pour le réveillon, tout le monde se fait beau.
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Caroline tente d'être seule sur la photo...
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... mais Paul ne se laisse pas faire.
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N'est-ce pas un charmant tableau ?
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Je vous ai gardé le meilleur pour la fin.
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Le lendemain, il est presque minuit et Élodie ne dort toujours pas...
mais le premier jour d'un millénaire n'est pas un jour comme les autres.
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La traditionnelle photo de groupe, avant de se séparer.
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Manon et Noémie. Ce qu'elles ont grandi depuis
la dernière fois que je les ai vues !
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Les membres de la Tarentelle s'étaient retrouvés autour de la même table.
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Jacques et Alix.
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Olivier : « Il paraît que maintenant il faut délivrer un diplôme Internet,
donc multimédia, aux enfants qui sortent du primaire. »
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« Est-ce que nos enseignants et enseignantes sont formés à ça ? »
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« Ben évidemment ! »
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Travaux pratiques : Anne-Séverine découvre le site Internet créé en secret
par Olivier. Et ma foi, elle se débrouille plutôt bien !
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Tanguy : « Bon anniversaire ! »
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(chanté sur l'air de Vive le vent)
« Vive maman, vive maman, vive maman chérie... »
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« ... t'as 30 ans aujourd'hui et je t'aime très fort ! »
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Pour finir, un diaporama retrace l'enfance d'Anne-Sé.
Les spectateurs tentent de séparer le vrai du faux, l'info de l'intox
(mais tout était vrai, bien sûr).
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Marie-Édith a invité sa famille et ses amis dans le château familial
en Normandie : la Commanderie de Sainte Vaubourg.
|
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Puisque personne ne connaît tout le monde, Marie-Édith fait les
présentations, en commençant par la famille.
|
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Parmi les rares personnes que je connaissais déjà,
il y avait évidemment Marie-Christine, mais aussi Magali et Claire.
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Pour d'autres, comme ce choriste à la belle perruque, il faudra que je
demande à Marie-Édith de me rappeler leurs prénoms.
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En plus des costumes, certains ont fait des efforts de maquillage.
Par exemple cette jolie salamandre, signe de reconnaissance de trois
personnes de la même famille.
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Les enfants sont bien sûr de la fête.
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Pour certains d'entre eux, le buffet d'apéritifs est fort tentant...
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|
Avant que la nuit ne tombe, il est possible de visiter les oubliettes.
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Une fois ressortis, on n'oublie pas de refermer pour éviter un accident.
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Tout le monde n'ayant pas profité de la première visite, on remet ça...
|
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Ce que Florence n'avait pas prévu, c'est que la dalle serait si lourde !
|
|
De retour à l'intérieur du château.
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Une fois Élodie couchée, Marie-Christine profite pleinement de la fête.
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|
Passé 23 heures, certains enfants s'endorment...
|
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... alors que d'autres continueront de danser jusqu'au bout de la nuit !
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|
Pour souffler les bougies du gâteau d'anniversaire, il faut bien
« gonfler l'airbag.»
|
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Bravo ! Du premier coup... mais c'était dur.
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|
Puis vient le moment d'ouvrir les cadeaux.
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|
Florence commente avec humour le choix de chaque cadeau.
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|
Bref... une belle soirée d'anniversaire, très réussie.
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|
Le lendemain de la fête, personne n'a beaucoup d'énergie pour autre chose
que se prélasser au soleil.
|
|
N'est-ce pas, Magali et Claire ?
|
|
Élodie s'est trouvée une copine : Gabrielle, alias Gabou, si mes souvenirs
sont exacts. Il faudra que je demande à Marie-Édith de rafraîchir ma mémoire.
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|
La même en gros plan.
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|
Anna semble une fille bien coquine...
|
|
Dans la famille « salamandre » je voudrais la fille, Estelle.
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|
Près de Christine et Marie-Christine, Gabou a trouvé une pompe à vélo.
Celle-ci semble intriguer Élodie.
|
|
« Hourra ! J'ai attrapé la pompe à vélo ! »
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|
« Voyons comment cela fonctionne... » (et après ça on s'étonnera si ma
fille est gonflée !)
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Anna s'en donne à coeur joie sur le cheval à bascule.
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|
Bien évidemment, Élodie veut essayer aussi.
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|
Si Élodie a déjà fait quelques pas debout, ce n'était que chez la nourrice,
lorsque son papa et sa maman ne pouvaient pas la voir.
En revanche, la marche à quatre pattes ne lui pose plus aucun problème.
|
|
Coucou !
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La Seine, vue du château...
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|
... et le château, vu de la Seine.
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Grâce au zoom, je peux m'approcher sans piétiner les champs qui se
trouvent devant.
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|
Après l'anniversaire de Marie-Édith, on fête celui des enfants nés à
la même époque.
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|
Lundi midi : déjeuner dans la grande cuisine du bas.
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|
Les adultes d'un côté, les enfants de l'autre.
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|
Après le repas, les enfants font fête au grand-père.
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|
Pendant ce temps, Marie-Édith et Magali s'amusent des mimiques d'Élodie.
|
|
L'aprés-midi, un peu de sport pour faciliter la digestion.
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Gabou a remis son costume de princesse pour s'occuper d'Élodie.
|
|
Avant de partir en camping, Marie-Édith s'entraîne à monter la tente
qui est l'un de ses cadeaux d'anniversaire.
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|
Magali et Florence auraient bien voulu aider Marie-Édith, mais elle doit
apprendre à la monter seule.
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|
Pour une première fois, elle se débrouille drôlement bien.
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Il ne reste plus qu'à fixer le double toit..
|
|
... et au bout de 19 minutes seulement Marie-Édith prend possession des
lieux.
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Zip ! C'est fermé.
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Un petit coup d'oeil sur les nombreux admirateurs de la nouvelle campeuse.
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Encore bravo !
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Pour nous c'est la fin du week-end. Le temps de traverser la Seine par
le bac, et on rentre à Paris... À quand la prochaine fois ?
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Dans la grande salle du comité d'entreprise, le public arrive petit à petit.
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Derniers conciliabules entre les artistes...
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La sympathique et très dynamique chef de choeur joue le rôle d'animatrice.
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Je crois bien qu'en dehors d'elle je n'ai jamais vu un chef de choeur
autant monté sur ressorts.
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|
En tout cas le résultat est là : je n'ai pas souvent vu de chorale aussi
souriante non plus.
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|
Le public est invité à participer et à reprendre le refrain de
« il tape sur des bambous » avec le choeur.
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|
D'une année sur l'autre, les guitaristes accompagnent de plus en plus souvent
les choristes.
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|
Cela ne les empêche pas de garder toujours un morceau qu'ils interprêtent
tout seuls.
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|
Nouveauté cette année : un chant en solo, seulement accompagné au piano.
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|
C'est Joëlle, la prof de piano, qui joue l'accompagnement.
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|
Pour finir, une photo d'une partie du public.
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|
Françoise et Hugues se trouvant à Saint-Chély pendant notre séjour au Mazel,
ils viennent nous rendre visite avec Christophe, alias Titou.
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|
Titou est d'abord surpris de se voir sur l'écran du caméscope.
|
|
La surprise passée, il nous offre un magnifique sourire.
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|
Pendant ce temps, allez savoir pourquoi, Élodie s'est installée dans
la caisse de jouets.
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|
« Maman ! Un lion ! »
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|
« Il y a un lion dans le livre d'Élodie ! »
|
|
Depuis sa caisse, Élodie joue aux Légo avec Françoise.
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|
Un petit coup de fatigue.
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|
La petite balade de fin d'après-midi passe presque obligatoirement par
la fontaine.
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|
Comme Élodie, Christophe est intrigué par l'eau qui coule.
|
|
La rencontre de voisins, en vacances comme nous, est l'occasion de discuter
un peu.
|
|
Mais Élodie est vraiment fatiguée. Il va être temps de rentrer se reposer.
|
|
Le remplacement du tableau électrique secondaire ayant été plus long que
prévu, je me suis improvisé un éclairage portatif avec les moyens du bord.
|
|
L'une des écharpes sert à maintenir la torche électrique en place,
tandis que l'autre sert à me protéger le crâne, déjà fort endolori.
|
|
Le but du jeu était de supprimer ce vieux tableau à fusibles...
|
|
... et de le remplacer par un tableau tout neuf avec disjoncteurs bipolaires
(c'est-à-dire coupant le neutre en même temps que la phase).
|
|
Un cache par dessus, et on ne voit plus la forêt de fils.
|
|
Le tableau électrique primaire sera bientôt remplacé, lui aussi.
|
|
Détail sur l'immonde bidouille destinée à alimenter la cuisine d'été et
l'adoucisseur d'eau. Noter que les fils de terre, ici comme dans la
cuisine principale, n'étaient en fait pas reliés à la terre.
|
|
A côté de cela, on trouve le compteur électrique le plus moderne qui soit.
|
|
Dernier détail : le carnet de relevés d'électricité de l'année 1961 !
|
|
Cette photo n'a été prise qu'à la fin de l'année, mais j'avais déjà
remplacé le tableau électrique fin février.
|
|
Le premier qui trouvera à redire quant à l'horizontalité du tableau est
autorisé à venir percer de nouveaux trous dans le béton avec une perceuse
sans fil, et presque sans éclairage.
|
|
Les travaux de remplacement de la chaudière devaient durer deux jours :
lundi 3 et mardi 4 décembre. Enfin, le dimanche 16 décembre, la chaudière
est en place et le programmateur n'est plus monté à l'envers...
|
|
Pourtant, tout n'est pas fini. Après avoir bousillé deux brûleurs, nous
devons nous résoudre à utiliser des bidons de gasoil au lieu de la cuve
de fioul.
|
|
En décembre, il fait froid. Du coup, c'est tous les jours que je dois
faire un tour à la station-service pour remplir mes bidons de 5, 10
et 20 litres.
|
|
Une nouvelle cuve nous est livrée pour remplacer celle enterrée
dans le jardin, devenue inutilisable.
|
|
Alors que je croyais avoir enfin compris comment fonctionnait la jauge
de fioul, celle-ci ne nous servira plus jamais.
|
|
Juste un mois après le début des travaux,
l'alimentation se fait toujours par bidons. Heureusement, la collection
s'étant enrichie de plusieurs bidons dont un de 60 litres, cela m'épargne
la corvée de gasoil quotidienne.
|
|
L'installation des tuyaux est l'occasion de faire un peu de ménage dans
l'existant, par exemple de supprimer l'adoucisseur d'eau inutile.
|
|
L'adoucisseur d'eau débranché.
|
|
Parmi les objets à jeter il y a aussi bien sûr la vieille jauge.
|
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Les nouveaux tuyaux reliant la nouvelle cuve à la
nouvelle chaudière seront bientôt complètement posés.
Nos problèmes de chauffage auront duré plus d'un mois, mais au moins
nous avons maintenant une installation toute neuve.
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